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Signification de copyist

copiste; transcripteur

Étymologie et Histoire de copyist

copyist(n.)

"celui dont le métier est de transcrire des documents," années 1690, dérivé de copy (n.) + -ist. Auparavant, on utilisait copist (années 1580).

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Au milieu du 14e siècle, le terme désignait un "compte rendu écrit ou un enregistrement." Il provient de l'ancien français copie (13e siècle) et du latin médiéval copia, signifiant "reproduction, transcription." Ce dernier dérive du latin copia, qui évoque "une abondance, un approvisionnement ample, une profusion, une grande quantité." On peut le décomposer en une forme assimilée de com, signifiant "avec" (voir com-), et ops (au génitif opis), qui signifie "pouvoir, richesse, ressources." Cette dernière provient de la racine indo-européenne *op-, qui évoque l'idée de "travailler, produire en abondance."

Au 15e siècle, le sens s'est élargi pour désigner tout échantillon écrit, en particulier un manuscrit remis à un imprimeur pour être reproduit en typographie (Caxton, fin du 15e siècle). L'idée de "duplication, imitation ou reproduction," qu'elle soit écrite ou non, apparaît à la fin du 14e siècle. Celle de "l'un d'un ensemble de reproductions contenant le même contenu" émerge dans les années 1530.

Copy-boy, désignant la personne qui prend les textes du rédacteur pour les transmettre à l'imprimeur, date de 1888. Le terme copy-desk, désignant le bureau où les textes sont édités pour l'impression, apparaît en 1887, tandis que copy-editor est attesté dès 1889.

The "copy desk" is the managing editor's literary inspection field, his last check by which the work of all editorial departments is gauged, the final balance where the brain product of the entire working force of the paper is weighed and judged. [The Journalist, May 21, 1892]
Le "copy desk" est le domaine d'inspection littéraire du rédacteur en chef, son dernier contrôle par lequel le travail de tous les départements éditoriaux est évalué, le bilan final où le produit intellectuel de l'ensemble de l'équipe du journal est pesé et jugé. [The Journalist, 21 mai 1892]

L'élément de formation des mots signifiant « celui qui fait ou qui est », utilisé aussi pour indiquer l'adhésion à une certaine doctrine ou coutume, vient du français -iste et du latin -ista (source également de l'espagnol, du portugais, de l'italien -ista). Il provient du grec, où il s'agit d'un suffixe formant des noms d'agents -istes, dérivé de -is-, la terminaison des racines des verbes en -izein, à laquelle s'ajoute le suffixe d'agent -tes.

La variante -ister (comme dans chorister, barrister) vient de l'ancien français -istre, formée par une analogie erronée avec ministre. La variante -ista provient de l'espagnol, popularisée dans l'anglais américain des années 1970 par les noms des mouvements révolutionnaires latino-américains.

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    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of copyist

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