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Signification de uniform

uniforme : ayant la même forme ; vêtements distinctifs portés par un groupe ; caractère constant

Étymologie et Histoire de uniform

uniform(adj.)

fin du 15e siècle, uniforme, "ayant toujours la même forme, invariable dans le caractère formel," du français uniforme (14e siècle), du latin uniformis "ayant seulement une forme ou une shape," de uni- "un" (voir uni-) + forma "forme" (voir form (n.)). Lié à : Uniformly (milieu du 15e siècle).

uniform(n.)

"vêtements distinctifs portés par un groupe, une tenue du même type que celles portées par les membres du même corps," 1748, à l'origine militaire, issu du français uniforme, dérivé de l'adjectif (voir uniform (adj.)). Le sens "personne en uniforme" est attesté en 1978 (comparer avec suit (n.), utilisé en 1979 comme terme dérisoire pour désigner un "homme d'affaires").

uniform(v.)

Dans les années 1680, le verbe a pris le sens de « rendre semblable, réduire à l'uniformité », dérivant de uniform (adjectif). L'acception « habiller en uniforme » apparaît en 1861, durant la guerre civile américaine. En lien avec cela : Uniformed.

Entrées associées

Vers 1200, le mot forme, fourme désignait une "semblance, image, ressemblance." Il provient du vieux français forme, fourme, qui signifiait "forme physique, apparence, beauté, contour, manière." Ce terme vient du latin forma, qui désignait la "forme, le contour, la figure, l'apparence, la beauté, un modèle ou un design." Son origine reste incertaine, mais une théorie suggère qu'il pourrait être lié au grec morphe, signifiant "forme, beauté, apparence extérieure" (voir Morpheus), via l'étrusque [Klein].

À partir de 1300, le mot a évolué pour désigner la "forme physique d'un objet, son contour ou son outline," et chez les personnes, il a pris le sens de "silhouette" ou "forme du corps." Il a également été utilisé pour parler de "l'apparence" ou de "la ressemblance" d'un individu, ainsi que pour désigner "l'empreinte d'un objet." À la même époque, il a commencé à désigner la "manière correcte ou appropriée de faire quelque chose, une procédure établie ou un usage traditionnel," et au milieu du 14e siècle, il a pris le sens d'un "instrument de modelage, un moule." Vers la fin du 14e siècle, il a été utilisé pour parler de "la façon dont quelque chose est réalisé," ainsi que du "modèle d'un objet manufacturé." Dans le domaine de la théologie et de la philosophie platonicienne, son utilisation s'est répandue à partir de la fin du 14e siècle, où il a pris des significations telles que "archétype d'une chose ou d'une classe" ou "essence platonicienne d'un objet." En droit, dès 1300, il désignait un "accord légal, les termes d'un contrat," et plus tard, au milieu du 14e siècle, il a évolué pour signifier "un document légal." L'idée d'un "document avec des espaces à remplir" est apparue en 1855. À partir des années 1590, il a été utilisé pour décrire un "agencement systématique ou ordonné," et dans les années 1610, il a pris le sens de "simple cérémonie." Dans les années 1550, il a été employé pour désigner une "classe ou un rang à l'école," dérivant de l'idée d'un "cours d'études fixe," qui remonte à la fin du 14e siècle. Le terme form-fitting (adjectif) pour parler de vêtements ajustés est apparu en 1893.

Vers 1300, on trouve sute, mais aussi suete, suite, seute. À l'époque, cela désignait "un groupe de personnes qui suivent quelqu'un, une suite ou une escorte". On l'utilisait aussi pour parler d'un "ensemble de vêtements assortis" portés par ces personnes, ou encore d'une "livrée ou uniforme assorti". De là, le mot a évolué pour signifier "type, sorte ; la même chose, un équivalent". Il pouvait aussi désigner une "poursuite, une chasse", et dans le domaine juridique, il faisait référence à "l'obligation d'un locataire de se présenter au tribunal" ou à sa "présence à l'audience".

Ce terme vient de l'anglo-français suit, siwete, lui-même issu du vieux français suite, sieute, qui signifiait "poursuite, acte de suivre, chasse, escorte, assemblée" (12e siècle, en français moderne suite). On le retrouve dans le latin vulgaire sous la forme *sequita, féminin de *sequitus, dérivé du latin classique secutus, participe passé de sequi, signifiant "suivre, accompagner" (provenant de la racine indo-européenne *sekw- (1) qui signifie "suivre").

Le sens juridique de "procès, action en justice" apparaît au milieu du 14e siècle. L'expression "demande en mariage" voit le jour à la fin du 15e siècle.

À la fin du 14e siècle, le mot a commencé à désigner tout ensemble d'objets assortis. On trouve également, à la même époque, le sens de "rang, série, séquence", ainsi que celui de "tenue vestimentaire à porter ensemble". Ce dernier usage a même été détourné pour devenir un terme moqueur désignant un "homme d'affaires" en 1979.

Il est aussi attesté à la fin du 14e siècle pour désigner "un matériau ou tissu assorti", en lien avec l'uniforme des courtisans. Le sens "classe de cartes à jouer portant le même symbole" apparaît dans les années 1520, toujours lié à l'idée de livrée. L'expression follow suit (années 1670) vient du jeu de cartes : "jouer une carte du même symbole que celle déjà posée", et, par extension, signifie "continuer dans la même voie que son prédécesseur".

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Tendances de " uniform "

Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of uniform

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