Publicité

Signification de omit

omettre; négliger; laisser de côté

Étymologie et Histoire de omit

omit(v.)

Au début du XVe siècle, le terme omitten désignait l'action de ne pas utiliser ou accomplir quelque chose, de négliger de mentionner ou de parler d'un sujet, ou encore de faire abstraction de quelque chose. Il provient du latin omittere, qui signifie « laisser aller, laisser tomber ». Dans un sens figuré, cela se traduisait par « mettre de côté, ignorer ». Ce mot est formé d'une version assimilée de ob (qui ici pourrait avoir une valeur intensive) et de mittere, signifiant « laisser aller, envoyer » (voir mission). On retrouve des formes liées comme Omitted et omitting.

omit

Entrées associées

Dans les années 1590, le terme désignait « un envoi à l'étranger » (en tant qu'agent), à l'origine utilisé pour les Jésuites. Il provient du latin missionem (au nominatif missio), qui signifie « acte d'envoi, une expédition ; une libération, un affranchissement ; une cessation de service, un licenciement ». C'est un nom d'action dérivé de la racine du participe passé de mittere, qui signifie « relâcher, laisser aller ; envoyer, jeter ». De Vaan retrace son origine à une racine indo-européenne, *m(e)ith-, qui évoquait l'idée d'« échange, retrait ». Cette même racine a donné naissance au sanskrit methete, mimetha (« devenir hostile, se quereller ») et au gothique in-maidjan (« changer »). Il explique que, de l'idée initiale d'« échange », le sens a évolué vers « donner, accorder »... puis vers « laisser aller, envoyer ».

Dans les années 1640, le terme a pris le sens d'« un effort organisé pour propager une religion ou éclairer une communauté ». En 1769, il a été utilisé pour désigner un « poste ou une station missionnaire ». Le sens diplomatique, qui désigne un « groupe de personnes envoyées dans un pays étranger pour des affaires commerciales ou politiques », est apparu dans les années 1620. En anglais américain, il désigne parfois « une légation ou une ambassade étrangère, le bureau d'un envoyé étranger » (1805).

Le sens général de « ce pour quoi on est envoyé ou mandaté » s'est développé dans les années 1670. L'idée de « destin » (comme dans man on a mission, one's mission in life) est attestée dès 1805. Le sens militaire, qui désigne « l'envoi d'un aéronef en opération » (en anglais américain, 1929), a ensuite été étendu aux vols spatiaux (1962). C'est ainsi qu'est né le terme mission control, désignant l'équipe au sol chargée de diriger un vaisseau spatial et son équipage (1964). Enfin, en matière de mobilier, le style « mission » fait référence à un style imitatif des meubles des premières missions espagnoles en Amérique du Nord, et il est attesté depuis 1900.

Au milieu du 14e siècle, le terme omissioun désignait "une négligence ou un manquement à faire ce que l'on a le pouvoir de faire ou ce que l'on devrait faire." Il provient de l'anglo-français omission (début du 14e siècle), du vieux français omission, et remonte directement au latin tardif omissionem (au nominatif omissio), qui signifie "un oubli" ou "un acte d'omission." Ce terme est un nom d'action dérivé de la racine du participe passé du verbe latin omittere, signifiant "négliger" ou "laisser tomber" (voir omit). L'acception "acte de laisser de côté" apparaît dans les années 1550. En lien avec ce terme, on trouve Omissible.

"omission, failure or forbearance to do something," vers 1600, peut-être inventé par Shakespeare, qui l’a utilisé dans un jeu de mots ("Omittance is no quittance"), dérivé de omit + -ance.

    Publicité

    Tendances de " omit "

    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

    Partager "omit"

    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of omit

    Publicité
    Tendances
    Publicité