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Signification de coverall

vêtement de travail; combinaison; tenue de protection

Étymologie et Histoire de coverall

coverall(n.)

aussi cover-all, coveralls, « vêtement de dessus intégral », 1830, issu de la locution verbale ; voir cover (v.) + all.

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Vieil anglais eall « chaque, entier, la totalité de » (adj.), « complètement, entièrement » (adv.), du proto-germanique *alnaz (source également de l’ancien frison, de l’ancien haut allemand al; allemand all, alle; vieux norrois allr; gothique alls), sans lien certain en dehors du germanique. En tant que nom, en vieil anglais, « tout ce qui est, tout ».

Les combinaisons avec all signifiant « entièrement, sans limite » étaient courantes en vieil anglais (comme eall-halig « tout saint », eall-mihtig « tout-puissant ») et l'habitude a continué. Le moyen anglais avait al-wher « partout ; à tout moment » (début du 14e siècle) ; al-soon « dès que possible », al-what (vers 1300) « toutes sortes de choses, quoi que ce soit ».

L'utilisation de a, a' comme abréviation de all (comme dans « A Man's a Man for A' that » de Burns) est un modernisme écossais mais a une histoire en anglais jusqu'au 13e siècle.

Parmi les phrases modernes courantes avec cela, at all « de quelque manière que ce soit » date du milieu du 14e siècle, and all « et tout (autre) » date des années 1530, all but « tout sauf » date des années 1590. Le premier enregistrement de all out « à pleine puissance » date de 1880. All clear comme signal de « aucun danger » est enregistré depuis 1902. All right, indicatif d'assentiment ou d'approbation, est attesté en 1837 ; le sens « satisfaisant, acceptable » date de 1939, issu de l'idée de « bien tourner ».

All's fair in love and war date de 1826 avec cette formulation ; mais des variantes (all advantages are lawful in love and war, in love and war all stratagems are fair, etc.) se trouvent dès le 17e siècle en anglais. La phrase pourrait avoir été inspirée par Don Quixote :

...así como en la guerra es cosa lícita y acostumbrada usar de ardides y estratagemas para vencer al enemigo, así en las contiendas y competencias amorosas se tienen por buenos los embustes y marañas que se hacen para conseguir el fin que se desea, como no sean en menoscabo y deshonra de la cosa amada . [Miguel de Cervantes, Don Quixote, 1605.]
...For as in War, so in Love, Stratagems are always allow'd. [Translation by J. Philips, 1687]

Vers le milieu du XIIe siècle, le verbe « couvrir » apparaît avec le sens de « protéger ou défendre contre le danger ». Il provient de l'ancien français covrir, qui signifie « couvrir, protéger, dissimuler » (utilisé au XIIe siècle, et en français moderne couvrir). Ce mot trouve ses racines dans le latin tardif coperire, lui-même dérivé du latin classique cooperire, signifiant « couvrir complètement, submerger, enterrer ». Ce dernier se compose de la forme assimilée de com- (qui peut ici jouer le rôle d'un préfixe intensif, comme on le voit dans com-), et de operire, qui signifie « fermer, couvrir ». On peut remonter encore plus loin jusqu'à la racine indo-européenne *op-wer-yo-, formée de *op- (qui veut dire « au-dessus », comme dans epi-) et de la racine *wer- (4), qui signifie « couvrir ».

Le sens de « cacher ou dissimuler » émerge vers 1300, tandis que l'idée de « placer quelque chose sur un autre objet » apparaît au début du XIVe siècle. Au cours de la fin du XIVe siècle, on commence à l'utiliser pour désigner l'action de « répandre quelque chose sur toute la surface d'un objet ». Dans un contexte militaire, le verbe prend le sens de « viser » dans les années 1680. C'est dans le domaine de la presse qu'il est attesté pour la première fois en 1893, et son utilisation dans le football américain remonte à 1907. Dans le jargon des paris, l'expression « couvrir » pour signifier « placer une pièce de monnaie de valeur équivalente sur une autre » date de 1857. Enfin, dans le cadre de l'élevage, on trouve dès les années 1530 l'utilisation euphémistique du verbe pour désigner l'accouplement d'un cheval ou d'un autre grand mâle animal.

Le sens d’« inclure, embrasser, comprendre » apparaît en 1868. L'idée de « passer ou se déplacer au-dessus de quelque chose, traverser » est attestée à partir de 1818. En 1828, on commence à l’utiliser pour exprimer l’idée d’« être égal à quelque chose, avoir la même portée ou quantité, compenser ». Enfin, l’usage qui désigne le fait de « prendre en charge une tâche à la place d’un collègue absent » est documenté dès 1970.

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    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of coverall

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