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Signification de repression

répression; acte de soumission; contrôle des émotions

Étymologie et Histoire de repression

repression(n.)

À la fin du 14e siècle, on trouve le terme repressioun, qui signifie « retenue, acte de soumission ». C'est un nom d'action dérivé du verbe repress, ou peut-être du latin médiéval repressionem (au nominatif repressio), lui-même issu du participe passé du verbe latin reprimere. Le sens psychologique apparaît en 1908, tandis que le sens biochimique date de 1957. Le mot français répression (15e siècle) n'est pas assez ancien.

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À la fin du 14e siècle, le verbe « réprimer » signifiait « vérifier, restreindre (un péché, une erreur) ; surmonter, réprimer, soumettre (une émeute, une rébellion) ». Il provient du latin repressus, participe passé de reprimere, qui se traduit par « retenir, freiner » et, au sens figuré, « contrôler, confiner, restreindre, s'abstenir de ». Ce dernier est formé de re- (« en arrière », voir re-) et de premere, qui signifie « presser, maintenir fermement, couvrir, entasser, comprimer » (issu de la racine indo-européenne *per- (4), qui évoque l'idée de « frapper »).

À partir de la fin du 14e siècle, le terme a aussi été utilisé pour décrire des sentiments ou des désirs. Dans un sens purement psychologique, c'est-à-dire « maintenir hors de la conscience, garder dans le subconscient », il s'aligne sur le mot allemand verdrängen (introduit par Freud en 1893). Cette acception a été attestée en anglais pour la première fois en 1904, comme en témoigne l'utilisation implicite dans repressed. On trouve également des termes connexes comme Repressed et repressing.

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    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of repression

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