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Signification de turn-out

affluence; assemblée; participation

Étymologie et Histoire de turn-out

turn-out(n.)

Dans les années 1680, le terme désigne l'"action de sortir," dérivant de la locution verbale attestée dès les années 1540, signifiant "faire sortir" ou "faire venir dehors." On peut le relier à turn (v.) et out (adv.). Plus spécifiquement, il désigne, à partir de 1816, un "public" ou "un rassemblement de personnes venues assister à un spectacle." L'expression turn out dans le sens de "se révéler finalement" est attestée dès 1744.

En tant que "grève," le terme turn-out (n.) apparaît en 1806, tandis qu'il est utilisé en 1812 pour décrire "la manière dont quelque chose est équipé." La locution verbale est documentée dans le sens de "renvoyer" ou "expulser" (de son poste, de son pouvoir, etc.) dès les années 1580, et pour "faire trébucher ou rouler quelque chose" à la fin du 14e siècle.

Entrées associées

Le mot exprime le mouvement ou la direction vers l'extérieur, à partir d'un point central, ainsi que le fait de quitter un lieu ou une position appropriée. En vieil anglais, ut signifie "hors de, sans, à l'extérieur". Il provient du proto-germanique *ūt-, qui se retrouve dans les langues anciennes comme le vieux norrois, le vieux frison, le vieux saxon et le gothique avec ut, le moyen néerlandais uut, le néerlandais moderne uit, le vieux haut allemand uz et l'allemand aus. Cette racine remonte au proto-indo-européen *uidh-, qui signifie "vers le haut, à l'extérieur, loin d'ici, en hauteur". On la retrouve aussi en sanskrit avec ut ("vers le haut, à l'extérieur") et uttarah ("plus haut, supérieur, ultérieur, septentrional"), en avestique avec uz- ("vers le haut, à l'extérieur"), en vieux irlandais avec ud- ("à l'extérieur"), en latin avec usque ("jusqu'à, sans interruption") et en grec avec hysteros ("le dernier"). En russe, vy- signifie "hors de".

Le sens de "jusqu'à la fin, complètement, jusqu'à la conclusion" apparaît vers 1300. L'idée de "ne plus brûler ou être allumé, plonger dans l'obscurité" se développe vers 1400. Au début du XVe siècle, on l'utilise pour décrire une position ou une situation "au-delà des limites, en dehors de". L'expression "attirer l'attention publique" émerge dans les années 1540, suivie de celle signifiant "loin de son domicile" vers 1600. Dans un contexte politique, "ne plus être en fonction, évincé d'un poste" apparaît également vers 1600. L'idée de "devenir visible" (pour les étoiles, par exemple) se fixe dans les années 1610. En communication radio, le terme désignant que l'orateur a terminé son propos est attesté dès 1950.

En tant que préposition, il signifie "hors de, venant de, éloigné de, à l'extérieur de, au-delà de, sauf, sans, dépourvu de". Ce sens se développe au milieu du XIIIe siècle à partir de l'adverbe.

Le passage à des relations conflictuelles, comme dans fall out ("se fâcher"), apparaît dans les années 1520. L'idée de "perdre son état d'esprit habituel", comme dans put out ("déconcerté"), se fixe dans les années 1580. L'expression out to lunch, signifiant "insensé", est un argot étudiant des années 1955. La locution adjectivale out-of-the-way, décrivant un lieu "éloigné, isolé", est attestée dès la fin du XVe siècle. Out-of-towner, désignant une personne étrangère à un lieu, apparaît en 1911. L'expression Out of this world, signifiant "exceptionnel", date de 1938, tandis que out of sight ("excellent, supérieur") est utilisée dès 1891. L'expression (verb) it out, signifiant "achever quelque chose", est attestée dans les années 1580. from here on out, signifiant "dorénavant", apparaît vers 1942. Enfin, Out upon, exprimant le dégoût ou le reproche, est utilisé dès le début du XVe siècle.

En moyen anglais, turnen vient de l’ancien anglais tardif turnian, qui signifie « faire tourner, faire pivoter ; se déplacer autour d’un axe, d’un centre ou d’une position fixe ». On le retrouve aussi en partie dans l’ancien français torner, tornier, et en anglo-français turner, qui signifient « détourner ou faire pivoter ; écarter, amener à tourner ; changer, transformer ; tourner sur un tour » (en français moderne, tourner).

Toutes ces formes proviennent du latin tornare, qui signifie « polir, arrondir, façonner, tourner sur un tour », lui-même dérivé de tornus, signifiant « tour », et du grec tornos, qui désigne « tour, outil pour tracer des cercles » (reconstruit par Watkins à partir de la racine indo-européenne *tere- (1) signifiant « frotter, tourner »).

À partir de la fin du XIIe siècle, le verbe prend le sens de « changer de position ou d’orientation pour faire face à une autre direction », d’où l’idée de « changer de cap, se diriger vers une autre voie ». En ce qui concerne les marées, par exemple, il signifie « inverser son cours ou sa direction » vers 1300.

Les sens transitifs en anglais apparaissent vers 1200, d’abord pour « amener à se tourner vers une autre direction » ; vers 1300, il évolue vers « provoquer un changement de direction ». On trouve aussi des expressions liées, comme Turned et turning.

De nombreuses expressions figurées, comme turn (something) into (something else), semblent avoir émergé de l’idée de « façonner (quelque chose) en le tournant sur un tour ou une roue, sculpter (un morceau de bois ou de métal) avec un ciseau pendant que l’objet tourne », le sens classique, attesté en anglais au milieu du XIVe siècle avec l’idée de « réaliser des contours arrondis », puis élargi à « former, façonner ou modeler de n’importe quelle manière » dans les années 1610.

À partir de la fin du XIIe siècle, il prend aussi le sens de « provoquer une transformation d’une substance en une autre ». Cette idée évolue vers celle de « changement de caractère ou de propriété » (couleur, épaisseur, masse, etc.) vers 1300, également utilisé de manière transitive. Le sens de « devenir aigre ou contaminé » apparaît dans les années 1570.

On l’utilise aussi à partir de la fin du XIIe siècle pour signifier « mener à » (un chagrin, un avantage, etc.) ou « résulter d’une conséquence ». Vers 1200, il prend le sens de « se produire, arriver, survenir ». On le retrouve également à cette époque pour exprimer l’idée de « s’inverser, prendre une position contraire » ou même « repousser » (le mal, le danger) et « mettre en déroute au combat ». Vers 1300, il évolue pour désigner le fait de « changer d’allégeance, de loyauté, de camp », tout en gardant une forme transitive.

L’expression turn down (verbe) signifiant « rejeter » est attestée en anglais américain dès 1891. L’expression turn in, qui signifie « se coucher », apparaît dans les années 1690, à l’origine dans un contexte nautique. Turn to, signifiant « se tourner vers quelqu’un pour obtenir de l’aide ou de l’espoir, avoir recours à », date de la fin du XIVe siècle.

L’expression turn the stomach, qui signifie « provoquer des nausées », est attestée dès les années 1620. L’expression turn (something) loose, signifiant « libérer », apparaît dans les années 1590. Enfin, l’expression turn up one's nose pour exprimer le mépris est attestée dès 1779.

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    Tendances de " turn-out "

    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of turn-out

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