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Signification de Luxor

Luxor : ville d'Égypte; site archéologique; ancienne capitale

Étymologie et Histoire de Luxor

Luxor

Ce nom désigne un lieu en Égypte, issu d'une mauvaise division du mot arabe al-uqsur, qui est le pluriel de al-qasr. Ce dernier provient d'une forme arabisée du latin castrum, signifiant "camp fortifié" (voir castle (n.)). Des vestiges de camps romains se trouvent à proximité.

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Fin de l'ancien anglais castel "village" (ce sens d'un usage biblique en latin vulgaire); plus tard "grand bâtiment ou série de bâtiments connectés fortifiés pour la défense, forteresse, bastion" (fin de l'ancien anglais), dans ce sens du vieux français du Nord castel (vieux français chastel, 12e s.; français moderne château), du latin castellum "un château, fort, citadelle, bastion; village fortifié," diminutif de castrum "fort," du proto-italique *kastro- "part, part;" cognat avec l'ancien irlandais cather, le gallois caer "ville" (probablement lié à castrare via la notion de "couper," de la racine indo-européenne *kes- "couper"). Dans les premières bibles, castle était utilisé pour traduire le grec kome "village."

Le latin castrum dans son pluriel castra était utilisé pour "campement militaire, poste militaire" et ainsi il est entré dans l'ancien anglais en tant que ceaster et a formé les -caster et -chester dans les noms de lieux. L'espagnol alcazar "château" vient de l'arabe al-qasr, du latin castrum.

Castles in Spain "projet visionnaire, imagination vague de richesse possible" traduit le français du 14e siècle chastel en Espaigne (les châteaux imaginaires se trouvaient parfois en Brie, Asie ou Albanie) et reflète probablement les espoirs des chevaliers sans terre de s'établir à l'étranger. L'affirmation qu'un (anglais) homme est chez lui comme dans son château vient du 16e siècle.

THAT the house of every man is to him as his castle and fortress, as well for his defence against injuries and violence, as for his repose .... [Edward Coke, "Semaynes Case," 1604]
QUE la maison de chaque homme est pour lui comme son château et sa forteresse, tant pour sa défense contre les blessures et la violence, que pour son repos .... [Edward Coke, "Semaynes Case," 1604]

Quatorzième lettre de l'alphabet anglais ; en chimie, le symbole du nitrogen.

À la fin du Moyen Âge, dans l'écriture anglaise, les formes a et an étaient souvent fusionnées avec le nom qui les suivait, surtout si celui-ci commençait par une voyelle. Cela a entraîné des confusions quant à la façon de diviser ces mots lorsqu'ils étaient écrits séparément. Dans des mots comme nickname, newt et le dialecte britannique naunt, le -n- provient d'un article indéfini précédent, an, ou d'un pronom possessif, mine. L'expression My naunt pour mine aunt est attestée du 13e au 17e siècle, et my nown (pour mine own) était courante du 15e au 18e siècle.

D'autres exemples issus de manuscrits du Moyen Âge incluent a neilond (« une île », début du 13e siècle), a narawe (« une flèche », vers 1400), a nox (« un bœuf », vers 1400), a noke (« un chêne », début du 15e siècle), a nappyle (« une pomme », début du 15e siècle), a negge (« un œuf », 15e siècle), a nynche (« un pouce », vers 1400), a nostryche (« une autruche », vers 1500). None other pouvait être écrit no noder (milieu du 15e siècle).

Au 16e siècle, an idiot est parfois devenu a nidiot (années 1530), qui, avec une prononciation encore courante, s'est transformé en nidget (années 1570), hélas, désormais disparu. On peut aussi comparer avec ingle (n.2), un mot élisabéthain désignant « un garçon favori (dans un sens péjoratif), un catamite » [OED, 1989], courant chez les dramaturges sous la forme ningle, dérivé de mine ingle (par exemple, dans l'œuvre de Dekker : « Roaring boys ..., fencers and ningles »).

Ce phénomène est « d'une récurrence constante » dans les vocabulaires du 15e siècle, comme l'indique Thomas Wright, leur éditeur moderne. On trouve, parmi de nombreux autres exemples, Hoc alphabetum ... a nabse, issu de la mauvaise division de an ABC (et prononcé comme un mot), ainsi que Hic culus ... a ners. On peut également comparer avec nonce, pigsney. Jusqu'au 19e siècle, dans certaines régions d'Angleterre et aux États-Unis, noration (provenant de an oration) désignait « un discours ; une rumeur ».

Ce phénomène a également influencé les noms de famille, souvent issus des cas obliques de l'ancien anglais at, signifiant « près de, à côté de ». Par exemple, Nock/Nokes/Noaks provient de atten Oke (« près du chêne ») ; Nye vient de atten ye (« près des terres basses ») ; et on peut aussi se référer à Nashville. (L'élision de la voyelle de l'article défini a également eu lieu et était courante dans l'anglais de chancellerie du 15e siècle : þarchebisshop pour « l'archevêque », thorient pour « l'Orient ».)

Il est cependant plus fréquent qu'un mot anglais perde un -n- au profit d'un a précédent : on peut citer apron, auger, adder, umpire, humble pie, etc. Par une erreur similaire dans l'anglais élisabéthain, natomy ou atomy était courant pour anatomy. Des formes comme noyance (annoyance) et noying (adjectif) apparaissent entre le 14e et le 17e siècle, et Marlowe (1590) utilise Natolian pour Anatolian. Des textes du 15e siècle présentent parfois umbre pour number. Cette tendance n'est pas propre à l'anglais : on peut comparer avec Luxor, jade (n.1), lute, omelet, et le grec moderne mera pour hēmera, où la première syllabe est confondue avec l'article.

L'utilisation mathématique de n pour désigner « un nombre indéfini » est attestée dès 1717 dans des expressions comme to the nth power (voir nth). Au Moyen Âge, n. était inscrit dans les documents pour indiquer un nom indéfini, à compléter par l'interlocuteur ou le lecteur.

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    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of Luxor

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