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Signification de cloak

manteau; couverture; dissimulation

Étymologie et Histoire de cloak

cloak(n.)

À la fin du XIIIe siècle, le terme désigne un « long manteau extérieur ample et sans manches ». Il provient de l'ancien français du Nord cloque (ancien français cloche, cloke), signifiant « manteau de voyage », lui-même issu du latin médiéval clocca, qui se traduit par « cape de voyageurs ». Ce mot évoque littéralement « une cloche », en raison de la forme en cloche du vêtement (il s'agit donc d'un doublet du mot clock (n.1)).

Ce manteau était un vêtement courant pour les hommes et les femmes en Angleterre jusqu'au XVIe siècle, servant de protection contre les intempéries. Plus tard, une version à col haut et circulaire a fait son retour dans la mode entre 1800 et 1840, souvent appelée Spanish cloak. Au figuré, le mot a pris le sens de « ce qui couvre ou dissimule, un prétexte », une évolution qui remonte aux années 1520.

Le terme Cloak-and-dagger (adjectif) apparaît en 1848, probablement comme une traduction du français de cape et d'épée, évoquant des intrigues secrètes et des violences sournoises. On peut le comparer à cloak-and-sword (1806), qui désigne des histoires romantiques et mélodramatiques d'aventure.

Other "cloak and dagger pieces," as Bouterwek tells us the Spaniards call their intriguing comedies, might be tried advantageously in the night, .... ["Levana; or the Doctrine of Education," English translation, London, 1848]
D'autres « pièces de cloak and dagger », comme le dit Bouterwek en parlant des comédies intrigantes des Espagnols, pourraient être présentées avec succès la nuit, .... [« Levana; or the Doctrine of Education », traduction anglaise, Londres, 1848]

cloak(v.)

« couvrir avec ou comme un manteau », « vers 1500, dérivé de cloak (n.). Au sens figuré, « couvrir, cacher, dissimuler » à partir des années 1540. Lié à : Cloaked; cloaking.

Entrées associées

Le terme désigne une « machine pour mesurer et indiquer le temps de manière mécanique » (et depuis la fin des années 1940, aussi électroniquement). Il apparaît à la fin du 14e siècle sous la forme clokke, qui signifie à l'origine « horloge avec des cloches ». On pense qu'il provient du moyen néerlandais clocke (néerlandais klok), signifiant « une horloge », lui-même dérivé du vieux français du Nord cloque (vieux français cloke, français moderne cloche, « une cloche »). Ce mot vient du latin médiéval clocca, qui signifie « cloche », et pourrait avoir des racines celtiques (on peut le comparer à l'ancien irlandais clocc, au gallois cloch ou au mannois clagg, tous signifiant « une cloche »). Il aurait été popularisé par des missionnaires irlandais, à moins que ces mots celtiques ne soient issus du latin. En fin de compte, son origine serait imitative.

Quoi qu'il en soit, son origine est probablement échoïque, imitant le bruit des premières cloches à main en fer battu, de forme quadrilatérale, plutôt que le tintement des cloches circulaires en métal coulé plus récentes. [OED]

Ce mot a remplacé l'ancien anglais dægmæl, qui se compose de dæg (« jour ») et mæl (« mesure, marque ») (voir meal (n.1)). En latin, on utilisait le terme horologium, qui a donné le français horologe, l'espagnol reloj et l'italien oriolo, orologio. Les Grecs, quant à eux, se servaient d'une horloge à eau, appelée klepsydra (littéralement « voleur d'eau » ; voir clepsydra).

L'expression put (ou set) the clock back, qui signifie « revenir à un état ou un système antérieur », date de 1862. Le terme Round-the-clock (adjectif) apparaît en 1943, à l'origine pour désigner les alertes aériennes. L'expression face that would stop a clock, qui veut dire « être très laid », est attestée en 1886. (Des variantes comme break a mirror ou kill chickens apparaissent vers 1890.)

Je me souviens, je me souviens
De cette pension si triste,
De la petite fenêtre d'où
Le parfum du hachis venait le matin.
Je me rappelle le miroir brisé,
Le matelas aussi dur qu'une pierre,
La servante originaire du comté de Clare,
Dont le visage aurait arrêté une horloge.
[...] [The Insurance Journal, janvier 1886]

également cloakroom, 1827, « une pièce reliée à une salle de réunion, un opéra, etc., où l'on dépose temporairement des manteaux et d'autres articles », dérivé de cloak (n.) + room (n.). Plus tard, ce terme a été étendu aux bureaux de chemin de fer pour le stockage temporaire des bagages, et à partir du milieu du 20e siècle, il est parfois devenu un euphémisme pour « salle de bain, toilettes. »

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    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of cloak

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