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Signification de denial

refus de reconnaître quelque chose; rejet d'une demande; déni de la réalité

Étymologie et Histoire de denial

denial(n.)

Dans les années 1520, le terme désigne le "refus d'accorder ce qui est demandé ou désiré." Il est formé à partir de deny et -al (2). Il remplace l'ancien mot denyance, utilisé à la fin du 15e siècle. Le sens d'"acte d'affirmer le contraire, de contredire" apparaît dans les années 1570, tandis que celui de "refus d'accepter ou de reconnaître" émerge dans les années 1580. Dans certaines utilisations du 19e siècle, il signifie vraiment "auto-négation." L'idée de "suppression inconsciente de sentiments douloureux ou embarrassants" est attestée pour la première fois en 1914 dans la traduction par A.A. Brill de "La Psychopathologie de la vie quotidienne" de Freud, d'où provient l'expression in denial, popularisée dans les années 1980.

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Au début du 14e siècle, le verbe signifiait « déclarer faux ou insoutenable ». Il vient du vieux français denoiir, qui signifie « nier, répudier, retenir », et trouve ses racines dans le latin denegare, signifiant « nier, rejeter, refuser ». Ce dernier a donné naissance à des mots similaires en italien (dinegarre) et en espagnol (denegar). Il se compose de de, qui signifie « loin » (voir de-), et de negare, qui veut dire « refuser, dire non ». Ce dernier vient du vieux latin nec, signifiant « non », issu de la base italique *nek-, qui se traduit également par « non », et de la racine indo-européenne *ne-, qui a le même sens.

À partir de la fin du 14e siècle, le verbe a évolué pour signifier « refuser, ne pas accorder ou donner », mais aussi « refuser de reconnaître, désavouer, renier ». L'idée de « refuser l'accès à » est apparue dans les années 1660. On trouve des formes connexes comme Denied (nié) et denying (niant).

I may not understand what you say, but I'll defend to your death my right to deny it. [Albert Alligator, "Pogo," Sept. 26, 1951] 
Je ne comprends peut-être pas ce que vous dites, mais je défendrai jusqu'à votre mort mon droit à le nier. [Albert Alligator, « Pogo », 26 septembre 1951] 

"L'act de refuser ses propres désirs ; le refus de satisfaire ses propres envies," dans les années 1640, dérivé de self- + denial.

Self-denial is to be presumed wise, necessary, or benevolent, unless indication is given to the contrary ; it may be the denial of selfishness; it may be not only the refusal to take what one might have, but the voluntary surrender of what one has ; it may be an act, a habit, or a principle. [Century Dictionary]
Self-denial est généralement perçu comme sage, nécessaire ou bienveillant, à moins qu'il n'y ait des indications contraires ; il peut représenter le refus de l'égoïsme ; il peut non seulement être le refus de prendre ce que l'on pourrait avoir, mais aussi l'abandon volontaire de ce que l'on possède ; il peut s'agir d'un acte, d'une habitude ou d'un principe. [Century Dictionary]

Lié : Self-denier; self-denying (adjectif) apparaît dans les années 1630 pour désigner "ce qui implique le self-denial," et aussi "caractérisé par ou impliquant le refus de soi."

Ce suffixe forme des noms d'action à partir de verbes, principalement issus du latin et du français, et signifie "acte de ______" (comme dans survival, referral). Il provient du moyen anglais -aille, du français féminin singulier -aille, et du latin -alia, qui est le pluriel neutre du suffixe adjectival -alis. Ce suffixe a été intégré en anglais et est utilisé avec des verbes d'origine germanique, comme dans bestowal et betrothal.

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    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of denial

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