en 1882, pour les noms de famille, les en-têtes de journaux, les mots composés, "n'ayant pas de trait d'union," de un- (1) "non" + participe passé de hyphenate (v.).
Figurativement, "pur, simple," en 1891, avec usage en politique en 1901 (unhyphenated Democrat, un soutien de Bryan; en 1904 des socialistes soutenant Debs; 1912 des républicains soutenant Taft).
Unhyphenated American, en référence à une allégeance culturelle ou politique indéfectible aux États-Unis malgré l'origine immigrée, est attesté en 1888. Contrairement à Irish-American (1816), German-American (1880), il a été invoqué contre les efforts des immigrants pour orienter les politiques américaines en faveur de leurs patries.
No, surely, if the unhyphenated American can sit by and see his country's hospitality continuously violated by Irish patriots without remonstrance, it is not the place of the British-American to interfere. ["America," Chicago, Nov. 29, 1888]
Non, sûrement, si l'Américain sans trait d'union peut rester assis et voir l'hospitalité de son pays continuellement violée par des patriotes irlandais sans protestation, ce n'est pas le rôle de l'Américain britannique d'interférer. ["America," Chicago, 29 nov. 1888]
Aussi unhyphenated Irish, indiquant ceux qui ne sont pas du tout américanisés. Unhyphenated American était aussi parfois opposé au proposé Anglo-American. L'utilisation du terme a accéléré dans le débat sur l'entrée dans la Première Guerre mondiale.
No, the cause of the present war is the desire of Austria to bring under its dominion the unwilling Servians, and Germany, in backing Austria in this immoral proceeding, is wrong. This, I think, is the feeling of most of us, including the writer, who, while of German extraction, considers himself an
UNHYPHENATED AMERICAN.
[letter to the editor, New York Tribune, Aug. 14, 1914]
Non, la cause de la guerre actuelle est le désir de l'Autriche de soumettre les Serviens réticents à sa domination, et l'Allemagne, en soutenant l'Autriche dans cette procédure immorale, a tort. Cela, je pense, est le sentiment de la plupart d'entre nous, y compris l'écrivain, qui, bien que d'extraction allemande, se considère comme un
UNHYPHENATED AMERICAN.
[lettre à l'éditeur, New York Tribune, 14 août 1914]