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Signification de breakdown

effondrement; défaillance; analyse détaillée

Étymologie et Histoire de breakdown

breakdown(n.)

On trouve aussi break-down, utilisé depuis 1832 pour désigner un « effondrement, une défaillance ». Ce terme provient de l’expression verbale attestée dès la fin du 14e siècle dans le sens « démonter en brisant » (à la forme transitive), puis en 1831 dans le sens intransitif « se briser, tomber en panne », et enfin en 1856 pour signifier « échouer en raison d’une incapacité, d’une émotion excessive, etc. ». Pour plus de détails, on peut se référer à break (verbe) et down (adverbe). En tant que nom, et spécifiquement pour désigner une panne de machine, il apparaît en 1838. Le sens « analyse détaillée » date de 1936, dérivant de l’expression verbale « analyser, classifier » utilisée en 1934. Dans l’anglais américain du 19e siècle, il désignait aussi « une danse bruyante et entraînante, parfois accompagnée de chants » (1864). Le terme Nervous breakdown est attesté en 1866.

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En vieil anglais, le verbe brecan signifiait « diviser violemment une matière solide en morceaux ou fragments ; blesser, violer (une promesse, etc.), détruire, réduire ; pénétrer, se précipiter dans ; jaillir, surgir ; soumettre, apprivoiser » (c'était un verbe fort de la classe IV, avec bræc au passé et brocen au participe passé). Il dérivait du proto-germanique *brekanan, qui a donné aussi en frison ancien breka, en néerlandais breken, en haut allemand ancien brehhan, en allemand brechen, et en gothique brikan. Ses racines plongent dans le proto-indo-européen avec *bhreg-, qui signifie « briser ».

Ce verbe est étroitement lié à des mots comme breach (n.), brake (n.1), et brick (n.). L'ancien passé brake est aujourd'hui obsolète ou archaïque. Le participe passé s'est transformé en broken, mais la forme abrégée broke apparaît dès le 14e siècle et était « extrêmement courante » [OED] aux 17e et 18e siècles.

À l'origine, ce verbe s'appliquait surtout aux os. Il a aussi été utilisé pour des matériaux comme le tissu ou le papier. L'idée d'« échapper en brisant une enceinte » est attestée à la fin du 14e siècle. Le sens intransitif, « se séparer en morceaux sous l'effet d'une force », apparaît à la fin du 12e siècle. Au 15e siècle, il prend le sens de « diminuer, altérer ». L'expression « faire une première divulgation partielle » date du début du 13e siècle. L'idée de « détruire la continuité ou l'intégrité » dans n'importe quel contexte émerge en 1741. Pour les pièces de monnaie ou les billets, l'expression « convertir en unités monétaires plus petites » est documentée dès 1882.

Le verbe a été utilisé pour le cœur dès le début du 13e siècle (dans un sens intransitif). L'expression break (someone's) heart apparaît à la fin du 14e siècle. Break bread, qui signifie « partager un repas (avec quelqu'un) », date également de la fin du 14e siècle. L'expression break ground est attestée dans les années 1670 pour désigner « creuser, labourer », et prend un sens figuré de « commencer à mettre en œuvre un projet » à partir de 1709. L'idée de « briser la glace », c'est-à-dire « surmonter la gêne lors d'une nouvelle rencontre », apparaît vers 1600, évoquant la « froideur » des échanges entre inconnus. Break wind est attesté dès les années 1550. L'expression break (something) out (dans les années 1890) évoque probablement le travail dans un port, où l'on libère une cargaison avant de la décharger.

La formule théâtrale ironique break a leg (documentée dès 1948, mais probablement utilisée depuis les années 1920) a des équivalents en allemand avec Hals- und Beinbruch (« casse-toi le cou et la jambe ») et en italien avec in bocca al lupo. Cela témoigne d'une tradition très superstitieuse dans le milieu (voir Macbeth). Selon Farmer & Henley, au 17e siècle, l'expression était utilisée de manière euphémique pour désigner une femme « ayant un enfant illégitime ».

"dans une direction descendante, d'un lieu, degré ou état supérieur à un inférieur," une forme abrégée de l'ancien anglais tardif ofdune signifiant "vers le bas," à l'origine of dune "loin de (la) colline," dérivant de dune "de la colline," au datif de dun "colline" (voir down (n.2)). Le mot "colline" est général en germanique, mais ce développement de sens est particulier à l'anglais. En tant que préposition, il signifie "dans une direction descendante sur ou le long de," utilisé depuis la fin du 14e siècle.

L'expression be down on signifiant "exprimer son désaccord" date de 1851. Down home apparaît en 1828 pour désigner "sa région d'origine," et en tant que phrase adjectivale signifiant "sans prétention" dès 1931, dans l'anglais américain. Down the hatch comme toast est attesté en 1931. Down to the wire provient du monde des courses de chevaux et date de 1901.

Down Under pour désigner "l'Australie et la Nouvelle-Zélande" est attesté depuis 1886 ; Down East signifiant "Maine" date de 1825 ; Down South pour "dans les États du Sud des États-Unis" est attesté en 1834. L'expression Down the road signifiant "dans le futur" est utilisée dans le langage familier américain depuis 1964. Down-to-earth pour décrire quelque chose de "terre-à-terre, ordinaire, réaliste" date de 1932.

1982, mais le style lui-même aurait évolué à la fin des années 1970 dans le South Bronx. La référence concerne le break rythmique dans une chanson pop-danse (voir break (n.)), que les DJs isolaient pour que les danseurs puissent s’y exprimer. Breakdown, « une danse tumultueuse, dans le style des noirs » [OED], est attesté depuis 1864. Lié : Break-dance; break-dancer.

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    Tendances de " breakdown "

    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of breakdown

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