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Signification de Munich

Munich; capitale de la Bavière; ville historique connue pour son festival de la bière

Étymologie et Histoire de Munich

Munich

Capitale bavaroise, la ville allemande München, dont le nom provient de Mönch, signifiant "moine" (voir monk). Elle a été fondée en 1158 en tant que ville marchande par des moines bénédictins. Les allusions à un "apaisement" font référence à la réunion qui s'est tenue là-bas le 29 septembre 1938, où des représentants allemands, britanniques, français et italiens se sont rencontrés. Cette rencontre a abouti à la cession des Sudètes à l'Allemagne en échange des promesses d'Hitler.

During the flight [from Munich] Daladier sat silent and morose, worried about the reception he would receive at Le Bourget, about how the French would react to his having betrayed Czechoslovakia and France's promises. As the plane circled for landing, he and others saw a massive crowd awaiting them. Expecting jeers, hisses, rotten fruit, and maybe worse, Daladier declared stolidly: 'They are going to mob me, I suppose. ... I appreciate their feelings,' and insisted on absorbing their wrath by being the first off the plane. But as he stood dumbfounded on the gangplank, thousands surged forward carrying flags and flowers, shouting 'Hurrah for France! Hurrah for England! Hurrah for peace!' Daladier turned back to Léger and cursed, 'The God-damned fools!' [Benjamin F. Martin, "France in 1938"]
Pendant le vol [depuis Munich], Daladier est resté silencieux et morose, inquiet de l'accueil qui l'attendait à Le Bourget, préoccupé par la réaction des Français face à sa trahison de la Tchécoslovaquie et des promesses de la France. Alors que l'avion tournait pour l'atterrissage, lui et les autres ont aperçu une foule massive les attendant. S'attendant à des huées, des sifflets, des fruits pourris, et peut-être pire, Daladier a déclaré stoïquement : 'Ils vont me lyncher, je suppose. ... Je comprends leurs sentiments,' et a insisté pour encaisser leur colère en étant le premier à descendre de l'avion. Mais alors qu'il se tenait, abasourdi, sur la passerelle, des milliers de personnes se sont précipitées vers lui, brandissant des drapeaux et des fleurs, criant 'Vive la France ! Vive l'Angleterre ! Vive la paix !' Daladier s'est retourné vers Léger et a juré : 'Ces foutus imbéciles !' [Benjamin F. Martin, "France in 1938"]

Entrées associées

"Membre d'une communauté ou d'une fraternité d'hommes formée pour la pratique des dévotions ou des devoirs religieux, liée par certains vœux," en vieil anglais munuc (utilisé aussi pour les femmes), issu du proto-germanique *muniko- (source également du frison ancien munek, du moyen néerlandais monic, de l'ancien haut allemand munih, et de l'allemand Mönch), un emprunt précoce au latin vulgaire *monicus (source du français moine, de l'espagnol monje, et de l'italien monaco), du latin tardif monachus signifiant "moine," à l'origine "ermite religieux," du grec ecclésiastique monakhos "moine," un substantif dérivé d'un adjectif grec classique signifiant "solitaire," provenant de monos "seul" (issu de la racine indo-européenne *men- (4) signifiant "petit, isolé"). Dans l'histoire de l'Église, les premiers moines étaient des hommes qui se retiraient du monde pour méditer religieusement et pratiquer leurs devoirs en solitude. Pour la substitution de -o- par -u-, voir come.

In England, before the Reformation, the term was not applied to the members of the mendicant orders, who were always called friars. From the 16th c. to the 19th c., however, it was usual to speak of the friars as a class of monks. In recent times the distinction between the terms has been carefully observed by well-informed writers. In French and Ger. the equivalent of monk is applied equally to 'monks' and 'friars.' [OED]
En Angleterre, avant la Réforme, le terme n'était pas appliqué aux membres des ordres mendiants, qui étaient toujours appelés friars. Cependant, du XVIe au XIXe siècle, il était courant de parler des frères comme d'une classe de moines. Récemment, la distinction entre les termes a été soigneusement observée par des écrivains bien informés. En français et en allemand, l'équivalent de monk est appliqué aussi bien aux 'moines' qu'aux 'frères.' [OED]
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    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of Munich

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