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Signification de monk

moine; membre d'une communauté religieuse; ermite religieux

Étymologie et Histoire de monk

monk(n.)

"Membre d'une communauté ou d'une fraternité d'hommes formée pour la pratique des dévotions ou des devoirs religieux, liée par certains vœux," en vieil anglais munuc (utilisé aussi pour les femmes), issu du proto-germanique *muniko- (source également du frison ancien munek, du moyen néerlandais monic, de l'ancien haut allemand munih, et de l'allemand Mönch), un emprunt précoce au latin vulgaire *monicus (source du français moine, de l'espagnol monje, et de l'italien monaco), du latin tardif monachus signifiant "moine," à l'origine "ermite religieux," du grec ecclésiastique monakhos "moine," un substantif dérivé d'un adjectif grec classique signifiant "solitaire," provenant de monos "seul" (issu de la racine indo-européenne *men- (4) signifiant "petit, isolé"). Dans l'histoire de l'Église, les premiers moines étaient des hommes qui se retiraient du monde pour méditer religieusement et pratiquer leurs devoirs en solitude. Pour la substitution de -o- par -u-, voir come.

In England, before the Reformation, the term was not applied to the members of the mendicant orders, who were always called friars. From the 16th c. to the 19th c., however, it was usual to speak of the friars as a class of monks. In recent times the distinction between the terms has been carefully observed by well-informed writers. In French and Ger. the equivalent of monk is applied equally to 'monks' and 'friars.' [OED]
En Angleterre, avant la Réforme, le terme n'était pas appliqué aux membres des ordres mendiants, qui étaient toujours appelés friars. Cependant, du XVIe au XIXe siècle, il était courant de parler des frères comme d'une classe de moines. Récemment, la distinction entre les termes a été soigneusement observée par des écrivains bien informés. En français et en allemand, l'équivalent de monk est appliqué aussi bien aux 'moines' qu'aux 'frères.' [OED]

Entrées associées

Verbe intransitif de mouvement, en vieil anglais cuman, signifiant « se déplacer dans le but d'atteindre un point, arriver par le mouvement ou la progression » ; il pouvait aussi signifier « entrer dans le champ de vision, apparaître, devenir perceptible ; se ressaisir, se remettre ; arriver ; se rassembler » (c'était un verbe fort de la classe IV, avec un passé cuom ou com et un participe passé cumen). Ce verbe provient du proto-germanique *kwem-, qui a donné aussi en vieux saxon cuman, en vieux frison kuma, en moyen néerlandais comen, en néerlandais moderne komen, en vieux haut allemand queman, en allemand kommen, en vieux norrois koma et en gothique qiman. Son origine remonte à la racine indo-européenne *gwa-, qui signifie « aller, venir ».

La substitution de -o- en moyen anglais à l’-u- du vieil anglais était une habitude des scribes, qui l’utilisaient pour éviter les erreurs de lecture dans les anciennes écritures, où les lettres se chevauchaient souvent (voir U). La forme moderne du passé came provient du moyen anglais, probablement influencée par le vieux norrois kvam, remplaçant ainsi l’ancien cuom.

Le sens « se produire, arriver » apparaît au début du XIIe siècle (l’expression come to pass, signifiant « se produire, arriver », date des années 1520). En tant qu’invitation à l’action, il est attesté vers 1300. Comme appel à une personne (souvent sous des formes répétées : « come, come », « come, now »), il apparaît au milieu du XIVe siècle. L’expression Come again?, utilisée pour demander « qu’avez-vous dit ? » de manière désinvolte, est attestée en 1884. Pour les sens sexuels, voir cum.

Ce verbe est particulièrement productif avec les prépositions. Le « Dictionary of Phrasal Verbs » de NTC en recense 198. Considérons les significations variées dans come to (« reprendre conscience »), come over (« envahir » au sens émotionnel), come at (« attaquer »), come on (interjection signifiant « soyez sérieux »), et come off (« se produire, connaître un certain succès », attesté en 1864). Parmi d’autres expressions courantes, on trouve :

Pour come down with (« tomber malade de »), attesté en 1895 ; come in, utilisé par un opérateur radio pour signifier « commencer à parler », en 1958 ; come on (« progresser dans sa croissance ou son développement »), vers 1600 ; come out, pour une jeune femme signifiant « faire son entrée officielle dans la société », en 1782 ; come round (« retrouver un état normal ou une meilleure condition »), en 1841 ; come through (« agir comme prévu ou attendu »), en 1914 ; come up (« surgir comme sujet d’attention »), en 1844 ; et come up with (« produire, présenter »), en 1934.

L’expression have it coming (« mériter ce qui arrive ») date de 1904. L’expression come right down to it (« en venir aux faits essentiels ») est attestée en 1875.

Dans les années 1540, le terme désigne tout ce qui est « relatif à un moine ». Dans les années 1570, il évolue pour décrire ce qui « ressemble à un moine » ou qui en possède les caractéristiques, formé à partir de monk (n.) et -ish. On trouve aussi des dérivés comme Monkishly et monkishness.

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Tendances de " monk "

Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of monk

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