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Signification de cobble

pavé; réparer; assembler maladroitement

Étymologie et Histoire de cobble

cobble(n.)

"pavé ; pierre usée et arrondie," vers 1600 (plus tôt cobblestone, voir), probablement un diminutif de cob dans un certain sens. Le verbe dans ce sens date des années 1690. Lié : Cobbled ; cobbling.

cobble(v.)

À la fin des années 1490, le verbe « cobbler » signifie « réparer ou raccommoder » (en particulier des chaussures ou des bottes). Il pourrait s'agir d'une formation régressive à partir de cobbler (n.1), ou dérivé de cob, évoquant l'idée de morceaux ou de lumps. L'acception « assembler de manière maladroite » apparaît dans les années 1580. Lié : Cobbled; cobbling.

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Il s'agit d'un mot ou d'un ensemble de mots identiques qui possèdent une vaste gamme de significations, dont beaucoup semblent dériver des notions de "tas, morceau, objet rond," ainsi que de "tête," et des extensions métaphoriques de ces deux idées. Avec ses cognats dans d'autres langues germaniques, son origine et son développement restent incertains.

"Le Dictionnaire National de la Langue Anglaise (N.E.D.) reconnaît huit noms cob, avec de nombreux sous-groupes. Comme d'autres monosyllabes courants dans le dialecte, son histoire est inextricable" [Weekley]. Dans la deuxième édition imprimée, ce nombre est porté à onze. Certains sens proviennent probablement de l'anglais ancien copp signifiant "sommet, tête," d'autres proviennent probablement du vieux norrois kubbi ou du bas allemand, tous ces mots pourraient remonter à une base proto-germanique *kubb- signifiant "quelque chose de rond."

Parmi les premiers sens attestés en anglais, on trouve "chef, leader," et "cygne mâle," tous deux au début du 15e siècle, mais le nom de famille Cobb (1066) suggère que l'anglais ancien utilisait une forme de ce mot comme surnom pour désigner un "homme grand et imposant." Le sens de "pousse de maïs" est attesté dans les années 1680.

À la fin du XIVe siècle (et même à la fin du XIIIe siècle pour certains noms de famille et toponymes), on trouve le terme cobelere, qui désigne « celui qui répare des chaussures », mais son origine reste floue. Il semble que ce mot soit lié étymologiquement à cobble (verbe), bien que les documents historiques ne soient pas toujours clairs à ce sujet. L'expression « Le cordonnier devrait s'en tenir à son dernier » (ne sutor ultra crepidam) provient d'une anecdote sur le peintre grec Apelle.

On one occasion a cobbler noticed a fault in the painting of a shoe, and remarking upon it to a person standing by, passed on. As soon as the man was out of sight Apelles came from his hiding-place, examined the painting, found that the cobbler's criticism was just, and at once corrected the error. ... The cobbler came by again and soon discovered that the fault he had pointed out had been remedied; and, emboldened by the success of his criticism, began to express his opinion pretty freely about the painting of the leg! This was too much for the patience of the artist, who rushed from his hiding place and told the cobbler to stick to his shoes. [William Edward Winks, "Lives of Illustrious Shoemakers," London, 1883]
Un jour, un cordonnier remarqua un défaut dans la peinture d'une chaussure. Il le fit remarquer à une personne qui se tenait à ses côtés, puis continua son chemin. Dès que l'homme fut hors de vue, Apelle sortit de sa cachette, examina la toile, constata que la critique du cordonnier était juste et corrigea immédiatement l'erreur. ... Le cordonnier repassa bientôt et remarqua que le défaut qu'il avait signalé avait été corrigé. Encouragé par le succès de sa remarque, il commença à donner son avis assez librement sur la peinture de la jambe ! Cela fut trop pour la patience de l'artiste, qui sortit de sa cachette et dit au cordonnier de stick to his shoes. [William Edward Winks, "Lives of Illustrious Shoemakers," Londres, 1883]

[L'histoire est racontée de différentes manières, et la citation varie également : Pline l'Ancien (dans son « Histoire naturelle », livre XXXV, chapitre X, section 36) écrit ne supra crepidam judicaret, tandis que Valérius Maxime (dans ses « Faits mémorables », livre VIII, chapitre XIII, section 3) dit supra plantam ascendere vetuit. La version citée ici a été choisie pour le titre du livre, il faut l'admettre.]

"petit, rond, pierre usée par l'eau, adaptée pour le pavage," fin du 14e siècle, kobilstane; voir cobble (n.) + stone (n.). Également en moyen anglais "un noyau de cerise ou un noyau."

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    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of cobble

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