Publicité

Signification de correspondent

correspondant; personne qui communique par lettres; journaliste envoyé

Étymologie et Histoire de correspondent

correspondent(adj.)

Au début du 15e siècle, le terme désignait une relation d'analogie, une notion d'harmonie ou de réponse mutuelle. Ce sens a été repris au 19e siècle par corresponding. Il provient du latin médiéval correspondentem, qui est le participe présent de correspondere, signifiant « correspondre, s'harmoniser, réciproquer ». Ce mot est issu d'une forme assimilée de com, qui signifie « ensemble, avec (l'un l'autre) » (voir com-), et de respondere, qui veut dire « répondre » (voir respond).

correspondent(n.)

« Celui qui communique avec un autre par lettres », 1620s, dérivé de correspondent (adjectif). Le sens lié aux journaux, « celui qui envoie régulièrement des lettres depuis un endroit éloigné », date de 1711.

THE life of a newspaper correspondent, as may naturally be supposed, is one of alternate cloud and sunshine—one day basking in an Andalusian balcony, playing a rubber at the club on the off-nights of the Opera, being very musical when the handsome Prima Donna sings, and very light fantastic toeish when the lively Prima Ballerina dances; another day roughing it over the Balkan, amid sleet and snow, or starving at the tail of an ill-conditioned army, and receiving bullets instead of billets-doux. [New Monthly Magazine, vol. xci, 1852, p.284]
La vie d'un correspondant de presse, comme on peut naturellement l'imaginer, est faite d'alternances entre nuages et soleil—un jour à profiter d'un balcon andalou, jouant une partie de cartes au club lors des soirées libres à l'Opéra, très mélodieux lorsque la belle Prima Donna chante, et très léger toeish lorsque la vive Prima Ballerina danse ; un autre jour à braver les rigueurs des Balkans, sous la neige et la pluie, ou à souffrir aux côtés d'une armée malheureuse, recevant des balles au lieu de billets-doux. [New Monthly Magazine, vol. xci, 1852, p.284]

Entrées associées

Dans les années 1570, le terme désignait quelque chose "lié par correspondance" et était utilisé comme un adjectif au participe présent dérivé de correspond. Ce n'est qu'au 19e siècle qu'il est devenu plus courant, prenant alors la fonction adjectivale de correspondent. En lien avec cela, on trouve Correspondingly, introduit en 1836.

"répondre, donner une réponse en mots," vers 1300, respounden, issu de l'anglo-français respundre, du vieux français respondere signifiant "répondre, correspondre," et directement du latin respondere qui veut dire "répondre, répondre à, promettre en retour." Ce terme est formé de re- signifiant "de nouveau" (voir re-) et spondere qui signifie "s'engager" (voir sponsor (n.)). L'orthographe et la prononciation modernes se sont stabilisées vers 1600. À partir du 17e siècle, le mot a également été utilisé pour désigner une "réponse liturgique." Lié : Responded; responding.

Élément de formation de mots qui signifie généralement « avec, ensemble », issu du latin com, une forme archaïque du latin classique cum signifiant « ensemble, avec, en combinaison ». Cet élément provient de la racine indo-européenne *kom-, qui signifie « à côté de, près de, avec » (à comparer avec l'ancien anglais ge- et l'allemand ge-). Dans le latin, ce préfixe était parfois utilisé pour renforcer le sens des mots.

Devant les voyelles et les aspirées, il se réduit à co-. Avant -g-, il s'assimile à cog- ou con-. Avant -l-, il devient col-. Avant -r-, il se transforme en cor-. Et devant -c-, -d-, -j-, -n-, -q-, -s-, -t- et -v-, il s'assimile à con-, une forme si courante qu'elle en est devenue la norme.

    Publicité

    Tendances de " correspondent "

    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

    Partager "correspondent"

    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of correspondent

    Publicité
    Tendances
    Publicité