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Signification de waterproof

imperméable; résistant à l'eau; qui repousse l'eau

Étymologie et Histoire de waterproof

waterproof(adj.)

On trouve aussi water-proof, utilisé pour désigner un matériau, etc., qui « repousse l'eau », dès 1725. Ce terme vient de water (n.1) et proof (n.). Le nom désignant un « vêtement en matériau imperméable » apparaît en 1799. Le verbe signifiant « rendre imperméable à l'eau » est attesté en 1843. On peut aussi mentionner les termes liés : Waterproofed et waterproofing.

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c. 1200, preove « preuve et argumentation pour établir le fait de (quelque chose) au-delà de tout doute raisonnable », de l'anglo-français prove, preove, ancien français proeve, prueve « preuve, test, expérience » (13e s., français moderne preuve), du latin tardif proba « une preuve », une rétro-formation du latin probare « prouver » (voir prove). « La dévocalisation de v en f a suivi la perte de la finale e ; cf. la relation de v et f dans believe, belief, relieve, relief, behove, behoof, etc. » [OED, 2e éd., 1989].

Le sens « acte de prouver » est du début du 14e s. Le sens « acte de tester ou de faire l'essai de quelque chose » date de la fin du 14e s., sous l'influence de prove. Le sens « norme de force des spiritueux distillés » date de 1705, sur la notion de « ayant été testé quant au degré de force ». L'utilisation en photographie date de 1855. Le sens typographique de « impression d'essai pour tester le type » est vers 1600. Le sens numismatique de « pièce frappée pour tester un coin » date de 1762 ; maintenant principalement en référence aux pièces frappées à partir de coins hautement polis, principalement pour les collectionneurs.

Le sens adjectival « impénétrable, capable de résister » (comme dans proof against) est attesté depuis les années 1590, à partir du nom dans des expressions telles que proof of (milieu du 15e s.), d'où les sens étendus impliquant « de puissance éprouvée contre » dans des composés tels que storm-proof (années 1590), fireproof (années 1630), rust-proof (années 1690), bomb-proof (1702), waterproof (1725), fool-proof (1902), l'orme étoilé de Milton branching elm star-proof. Un sermon de Donne de 1631 mentionne temptation-proof.

Dans un usage ultérieur, souvent dans les créations publicitaires, telles que spill-proof, attesté depuis 1909 en référence aux balayeuses de tapis, par 1920 également dans les annonces de journaux pour des poubelles, des vêtements pour garçons, un seau à lait qu'une vache ne peut renverser, etc. (Il était utilisé en 1902 pour un chariot qui ne se renverse pas.) Aussi child-proof (1933). Shakespeare utilise shame-proof.

L'expression the proof is in the pudding (1915) est une curieuse perversion de l'expression antérieure proof of the pudding shall be in the eating (1708), avec proof au sens de « qualité de prouver bon ou de bien se révéler » (17e s.).

En vieil anglais, on trouve wæter, issu du proto-germanique *watr- (qui a également donné le vieux saxon watar, le vieux frison wetir, le néerlandais water, le vieux haut allemand wazzar, l’allemand Wasser, le vieux norrois vatn, et le gothique wato, tous signifiant « eau »). Son origine remonte au proto-indo-européen *wod-or, une forme dérivée de la racine *wed- (1), qui signifie « eau » ou « humide ». Dans les conceptions anciennes, l’eau faisait partie des quelques éléments fondamentaux constituant tout ce qui nous entoure.

Avoir la head above water (et ainsi éviter de se noyer) apparaît dès les années 1660. Dans un sens figuré, signifiant « sorti d’affaire », cette expression est attestée à partir de 1742.

Le terme water-cure, désignant des thérapies de guérison par l’eau, date de 1842. Le water-cannon, utilisé pour le contrôle des foules, est nommé ainsi dès 1964. Le water-fountain, qui signifie « fontaine à boire », est attesté en 1946. Le Water-buffalo apparaît en 1894. Le Water polo est mentionné dès 1884, tandis que water torture est attesté à partir de 1928.

Waters, utilisé pour désigner les « mers d’une région particulière », en particulier les « revendications maritimes d’une nation », émerge dans les années 1650.

Les linguistes pensent que le proto-indo-européen possédait deux racines pour désigner l’eau : *ap- et *wed-. La première, préservée en sanskrit sous la forme apah et dans des mots comme Punjab et julep, était considérée comme « animée », évoquant l’eau comme une force vivante. La seconde la décrivait plutôt comme une substance inanimée. On pense que la même distinction existait pour le mot fire (n.).

word-forming element from proof (adj.) "impenetrable, able to resist" (as in proof against), which is recorded from 1590s, extended from proof (n.) in expressions such as proof of (mid-15c.).

Hence the extended senses involving "of tested power against" in compounds such as storm-proof (1590s), fireproof (1630s), rust-proof (1690s), bomb-proof (1702), waterproof (1725), fool-proof (1902), Milton's branching elm star-proof. A Donne sermon from 1631 has temptation-proof.

In later use often in advertisers' coinages, such as spill-proof, attested from 1909 in reference to carpet sweepers, by 1920 also in newspaper ads for garbage cans, clothes for boys, a dairy pail a cow can't kick over, etc. (It was used by 1902 of a wagon that won't upset.) Kiss-proof is touted as a quality of lipsticks by 1924, earliest of face-powder (1906); in 1890s it was an occasional whimsical word (as in kiss-proof mask, a gift for one suddenly popular). Also child-proof (1933). Shakespeare has shame-proof.

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    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of waterproof

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