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Signification de breakwater

brise-lames; structure protégeant un port ou une côte

Étymologie et Histoire de breakwater

breakwater(n.)

"toute structure servant à atténuer la force des vagues et à protéger un port ou une côte," 1721 ; voir break (v.) + water (n.1).

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En vieil anglais, le verbe brecan signifiait « diviser violemment une matière solide en morceaux ou fragments ; blesser, violer (une promesse, etc.), détruire, réduire ; pénétrer, se précipiter dans ; jaillir, surgir ; soumettre, apprivoiser » (c'était un verbe fort de la classe IV, avec bræc au passé et brocen au participe passé). Il dérivait du proto-germanique *brekanan, qui a donné aussi en frison ancien breka, en néerlandais breken, en haut allemand ancien brehhan, en allemand brechen, et en gothique brikan. Ses racines plongent dans le proto-indo-européen avec *bhreg-, qui signifie « briser ».

Ce verbe est étroitement lié à des mots comme breach (n.), brake (n.1), et brick (n.). L'ancien passé brake est aujourd'hui obsolète ou archaïque. Le participe passé s'est transformé en broken, mais la forme abrégée broke apparaît dès le 14e siècle et était « extrêmement courante » [OED] aux 17e et 18e siècles.

À l'origine, ce verbe s'appliquait surtout aux os. Il a aussi été utilisé pour des matériaux comme le tissu ou le papier. L'idée d'« échapper en brisant une enceinte » est attestée à la fin du 14e siècle. Le sens intransitif, « se séparer en morceaux sous l'effet d'une force », apparaît à la fin du 12e siècle. Au 15e siècle, il prend le sens de « diminuer, altérer ». L'expression « faire une première divulgation partielle » date du début du 13e siècle. L'idée de « détruire la continuité ou l'intégrité » dans n'importe quel contexte émerge en 1741. Pour les pièces de monnaie ou les billets, l'expression « convertir en unités monétaires plus petites » est documentée dès 1882.

Le verbe a été utilisé pour le cœur dès le début du 13e siècle (dans un sens intransitif). L'expression break (someone's) heart apparaît à la fin du 14e siècle. Break bread, qui signifie « partager un repas (avec quelqu'un) », date également de la fin du 14e siècle. L'expression break ground est attestée dans les années 1670 pour désigner « creuser, labourer », et prend un sens figuré de « commencer à mettre en œuvre un projet » à partir de 1709. L'idée de « briser la glace », c'est-à-dire « surmonter la gêne lors d'une nouvelle rencontre », apparaît vers 1600, évoquant la « froideur » des échanges entre inconnus. Break wind est attesté dès les années 1550. L'expression break (something) out (dans les années 1890) évoque probablement le travail dans un port, où l'on libère une cargaison avant de la décharger.

La formule théâtrale ironique break a leg (documentée dès 1948, mais probablement utilisée depuis les années 1920) a des équivalents en allemand avec Hals- und Beinbruch (« casse-toi le cou et la jambe ») et en italien avec in bocca al lupo. Cela témoigne d'une tradition très superstitieuse dans le milieu (voir Macbeth). Selon Farmer & Henley, au 17e siècle, l'expression était utilisée de manière euphémique pour désigner une femme « ayant un enfant illégitime ».

En vieil anglais, on trouve wæter, issu du proto-germanique *watr- (qui a également donné le vieux saxon watar, le vieux frison wetir, le néerlandais water, le vieux haut allemand wazzar, l’allemand Wasser, le vieux norrois vatn, et le gothique wato, tous signifiant « eau »). Son origine remonte au proto-indo-européen *wod-or, une forme dérivée de la racine *wed- (1), qui signifie « eau » ou « humide ». Dans les conceptions anciennes, l’eau faisait partie des quelques éléments fondamentaux constituant tout ce qui nous entoure.

Avoir la head above water (et ainsi éviter de se noyer) apparaît dès les années 1660. Dans un sens figuré, signifiant « sorti d’affaire », cette expression est attestée à partir de 1742.

Le terme water-cure, désignant des thérapies de guérison par l’eau, date de 1842. Le water-cannon, utilisé pour le contrôle des foules, est nommé ainsi dès 1964. Le water-fountain, qui signifie « fontaine à boire », est attesté en 1946. Le Water-buffalo apparaît en 1894. Le Water polo est mentionné dès 1884, tandis que water torture est attesté à partir de 1928.

Waters, utilisé pour désigner les « mers d’une région particulière », en particulier les « revendications maritimes d’une nation », émerge dans les années 1650.

Les linguistes pensent que le proto-indo-européen possédait deux racines pour désigner l’eau : *ap- et *wed-. La première, préservée en sanskrit sous la forme apah et dans des mots comme Punjab et julep, était considérée comme « animée », évoquant l’eau comme une force vivante. La seconde la décrivait plutôt comme une substance inanimée. On pense que la même distinction existait pour le mot fire (n.).

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    Tendances de " breakwater "

    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of breakwater

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