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Signification de shortcoming

défaut; insuffisance; lacune

Étymologie et Histoire de shortcoming

shortcoming(n.)

"une baisse de la qualité habituelle, un échec de performance, une défaillance," dans les années 1670, issu de l'expression to come short qui signifie "être inadéquat" (années 1570); voir short (adj.) + come (v.). Lié : Shortcomings.

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Verbe intransitif de mouvement, en vieil anglais cuman, signifiant « se déplacer dans le but d'atteindre un point, arriver par le mouvement ou la progression » ; il pouvait aussi signifier « entrer dans le champ de vision, apparaître, devenir perceptible ; se ressaisir, se remettre ; arriver ; se rassembler » (c'était un verbe fort de la classe IV, avec un passé cuom ou com et un participe passé cumen). Ce verbe provient du proto-germanique *kwem-, qui a donné aussi en vieux saxon cuman, en vieux frison kuma, en moyen néerlandais comen, en néerlandais moderne komen, en vieux haut allemand queman, en allemand kommen, en vieux norrois koma et en gothique qiman. Son origine remonte à la racine indo-européenne *gwa-, qui signifie « aller, venir ».

La substitution de -o- en moyen anglais à l’-u- du vieil anglais était une habitude des scribes, qui l’utilisaient pour éviter les erreurs de lecture dans les anciennes écritures, où les lettres se chevauchaient souvent (voir U). La forme moderne du passé came provient du moyen anglais, probablement influencée par le vieux norrois kvam, remplaçant ainsi l’ancien cuom.

Le sens « se produire, arriver » apparaît au début du XIIe siècle (l’expression come to pass, signifiant « se produire, arriver », date des années 1520). En tant qu’invitation à l’action, il est attesté vers 1300. Comme appel à une personne (souvent sous des formes répétées : « come, come », « come, now »), il apparaît au milieu du XIVe siècle. L’expression Come again?, utilisée pour demander « qu’avez-vous dit ? » de manière désinvolte, est attestée en 1884. Pour les sens sexuels, voir cum.

Ce verbe est particulièrement productif avec les prépositions. Le « Dictionary of Phrasal Verbs » de NTC en recense 198. Considérons les significations variées dans come to (« reprendre conscience »), come over (« envahir » au sens émotionnel), come at (« attaquer »), come on (interjection signifiant « soyez sérieux »), et come off (« se produire, connaître un certain succès », attesté en 1864). Parmi d’autres expressions courantes, on trouve :

Pour come down with (« tomber malade de »), attesté en 1895 ; come in, utilisé par un opérateur radio pour signifier « commencer à parler », en 1958 ; come on (« progresser dans sa croissance ou son développement »), vers 1600 ; come out, pour une jeune femme signifiant « faire son entrée officielle dans la société », en 1782 ; come round (« retrouver un état normal ou une meilleure condition »), en 1841 ; come through (« agir comme prévu ou attendu »), en 1914 ; come up (« surgir comme sujet d’attention »), en 1844 ; et come up with (« produire, présenter »), en 1934.

L’expression have it coming (« mériter ce qui arrive ») date de 1904. L’expression come right down to it (« en venir aux faits essentiels ») est attestée en 1875.

Le moyen anglais short vient de l'ancien anglais sceort, scort, qui signifie « de petite longueur ; pas grand ; de courte durée ». On pense qu'il provient du proto-germanique *skurta-, qui a aussi donné en vieux norrois skorta (« être en manque »), skort (« brièveté »), et en vieux haut allemand scurz (« court »). À l'origine, il remonte à la racine indo-européenne *sker- (1), qui signifie « couper », évoquant l'idée de « quelque chose coupé ».

On peut le comparer au sanskrit krdhuh (« raccourci, estropié, petit »), au latin curtus (« court »), cordus (« né tard, à l'origine « rabougri » »), au vieux slave de l'Église kratuku et au russe korotkij (« court »), au lituanien skursti (« être rabougri »), skardus (« escarpé »), ainsi qu'à l'ancien irlandais cert (« petit ») et au moyen irlandais corr (« rabougri, nain »). Tous ces termes semblent provenir de la même racine.

Le mot a commencé à désigner des souvenirs à partir du milieu du 14e siècle. Le sens « ne répond pas à une norme ou à une quantité requise » apparaît à la fin du 14e siècle. L'expression « pas assez loin pour atteindre la cible » est attestée dans le domaine du tir à l'arc dès les années 1540. L'idée de « quantité insuffisante » émerge dans les années 1690. Le sens « impoli, brusque » est documenté à la fin du 14e siècle, tandis que celui de « facilement provoqué » date des années 1590, peut-être en lien avec l'idée de « ne pas tolérer longtemps ».

Concernant les voyelles ou les syllabes, il désigne « non prolongé dans l'énonciation » dès la fin de l'ancien anglais. Dans le langage courant, il désigne également les boissons alcoolisées « non mélangées à de l'eau, non diluées » dès 1839, en raison de leur service en petite quantité.

Short rib (« côte courte »), qui désigne une côte asernale, l'une des côtes inférieures généralement plus courtes que les supérieures, apparaît vers 1400. L'expression Short fuse pour désigner une « humeur explosive » est attestée en 1951. Short run (« période relativement brève ») date de 1879. Le terme Short story, désignant une « œuvre de fiction en prose plus courte qu'un roman », est enregistré en 1877. L'expression make short work (« se débarrasser rapidement de quelque chose ») est attestée dès les années 1570. La phrase short and sweet apparaît dans les années 1530. Être short by the knees (1733) signifiait être à genoux, tandis qu'être short by the head (années 1540) indiquait qu'on avait été décapité.

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    Tendances de " shortcoming "

    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of shortcoming

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