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Signification de Met

rencontre; match; réunion

Étymologie et Histoire de Met

Met(n.)

1879 comme abréviation colloquiale de Metropolitan (n.) "membre du New York Metropolitan Base-Ball Club."

THE baseball season has opened, and along with the twittering of the birds, the budding of the trees, and the clattering of the truck, comes the news that the "Mets were beaten yesterday 17 to 5." It is an infallible sign of spring when the Mets are beaten 17 to 5, and we invariably put on our thinner clothing when we read that refreshing, though perennial news in the papers. [Life magazine, May 12, 1887]
La saison de baseball a ouvert, et avec le gazouillement des oiseaux, le bourgeonnement des arbres, et le bruit des camions, vient la nouvelle que "les Mets ont été battus hier 17 à 5." C'est un signe infaillible du printemps lorsque les Mets sont battus 17 à 5, et nous mettons invariablement nos vêtements plus légers lorsque nous lisons cette nouvelle rafraîchissante, bien que perpétuelle, dans les journaux. [Magazine Life, 12 mai 1887]

Utilisé de diverses manières pour abréger d'autres noms propres commençant par Metropolitan, tels que "Metropolitan Museum of Art" (N.Y.), en 1919; "Metropolitan Railway" (actions), en 1890; "Metropolitan Opera Company (N.Y.), en 1922. Lié: Mets.

met(v.)

Le passé simple et le participe passé de meet (verbe). En vieil anglais, les voyelles longues avaient tendance à se raccourcir devant de nombreux groupes de consonnes. C'est pourquoi on a meet/met (autrefois mette), five/fifteen, house/husband, break/breakfast.

Entrées associées

 En moyen anglais, on trouve le terme mēten, issu de l'ancien anglais metan, qui signifie « trouver, découvrir ; rencontrer, croiser, se retrouver au même endroit ; obtenir quelque chose ». Ce mot provient du proto-germanique *motjanan, à l'origine également des mots en vieux norrois mæta, vieux frison meta, vieux saxon motian signifiant « rencontrer », et en gothique gamotijan. On le relie à la racine indo-européenne *mod-, qui évoque l'idée de « se rencontrer, se rassembler ». Un terme connexe en vieil anglais est gemot, signifiant « réunion ».

Vers 1300, le mot a évolué pour désigner l'action de « toucher physiquement quelque chose, se joindre à un autre par le contact ou l'union ». Il a aussi pris le sens de « se rassembler en s'approchant l'un de l'autre », notamment pour des personnes qui se croisent ou entrent en collision. De manière plus abstraite, il a été utilisé pour exprimer l'idée de « tomber sur quelque chose, rencontrer » (comme dans meet with approval, « rencontrer l'approbation » ou meet one's destiny, « rencontrer son destin ») dès la fin du 14e siècle. L'idée de « se conformer à quelque chose, être ou agir en accord avec » (comme dans meet expectations, « répondre aux attentes ») est apparue dans les années 1690.

Le sens intransitif, qui désigne le fait pour des personnes de « se rassembler », est attesté dès le milieu du 14e siècle. Pour les membres d'un groupe organisé ou d'une société, l'idée de « s'assembler » s'est développée dans les années 1520. On trouve aussi des formes comme Met et meeting. L'expression meet (someone) halfway, utilisée au sens figuré pour signifier « faire des concessions réciproques et équitables », date des années 1620. Enfin, Well met comme salutation amicale est attestée au milieu du 15e siècle.

Au milieu du XIVe siècle, le terme désignait un « évêque ayant la supervision générale des autres évêques de sa province ». Il provient du latin tardif metropolitanus, lui-même issu du grec metropolis, qui signifie « ville mère » (c'est-à-dire la ville d'où d'autres ont été colonisées), ou encore « État parent d'une colonie ». Ce terme désignait également une « ville capitale », et dans le grec ecclésiastique, il se réfère à l'« évêché d'un évêque métropolitain ». Il se compose de meter, signifiant « mère » (voir mother (n.1)), et de polis, qui signifie « ville » (voir polis).

Dans l'Église primitive, il désignait l'évêque de la capitale municipale d'une province ou d'une éparchie, chargé de superviser les autres évêques de sa région. Dans l'Église catholique moderne, il s'agit d'un archevêque qui a sous son autorité plusieurs évêques. Dans l'Église grecque, il reste l'évêque de la capitale municipale d'une province, occupant un rang supérieur à celui d'un archevêque.

"Un de plus que quatorze ; le nombre qui est un de plus que quatorze ; un symbole représentant ce nombre." En vieil anglais, on disait fiftyne, dérivé de fif signifiant "cinq" (provenant de la racine indo-européenne *penkwe- "cinq") + tyne (voir -teen). Pour le changement de voyelle, consultez met (v.). Ce mot est apparenté au vieux saxon fiftein, au vieux frison fiftine, au vieux norrois fimtan, au suédois femton, au néerlandais vijftien, au allemand fünfzehn, et au gothique fimftaihun signifiant "quinze". En français, quinze et en italien quindici pour "quinze" proviennent du latin quindecim (composé de quinque "cinq", voir quinque- ; + -decim (voir -teen)). Dans le rugby, c'est le nombre de joueurs qui composent une équipe.

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    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of Met

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