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Signification de immolate

sacrifier; tuer; offrir en sacrifice

Étymologie et Histoire de immolate

immolate(v.)

Années 1540, "sacrifier, tuer comme une victime", du latin immolatus, participe passé de immolare "sacrifier, offrir en offrande", donc, au sens général, "tuer, abattre", à l'origine et étymologiquement "asperger de farine sacrificielle"; de la forme assimilée de in- "dans, en, sur" (de la racine PIE *en "dans") + mola (salsa) "farine (sacrificielle)", qui est liée à molere "moudre" (de la racine PIE *mele- "écraser, moudre"). Lié à : Immolated; immolating.

The victim ( victima is used of the larger, hostia of the smaller animals) was led to the altar adorned with the sacred band of white wool ( infula) and ribands ( vittae); the horns were sometimes gilded. As in the Greek rule, the victim must come willingly. Then followed the immolatio, also a counterpart of the Greek ritual, which consisted in dedicating the animal by strewing on its head the mola salsa or prepared cake (perhaps also called fertum) with wine and incense, and with the words macte esto hoc ture et hoc vino. The beast was then slain .... [Cornish (ed.), "Concise Dictionary of Greek and Roman Antiquities," 1898]
La victime ( victima est utilisée pour les plus grands, hostia pour les plus petits animaux) était menée à l'autel ornée de la bande sacrée de laine blanche ( infula) et de rubans ( vittae); les cornes étaient parfois dorées. Comme dans la règle grecque, la victime devait venir volontairement. Suivait alors l' immolatio, également un équivalent du rituel grec, qui consistait à dédier l'animal en répandant sur sa tête la mola salsa ou gâteau préparé (peut-être aussi appelé fertum) avec du vin et de l'encens, et avec les mots macte esto hoc ture et hoc vino. La bête était ensuite abattue .... [Cornish (éd.), "Concise Dictionary of Greek and Roman Antiquities," 1898]

Dans l'usage moderne, souvent signifiant auto-immolation (une expression attestée en 1779), "auto-sacrifice", se distinguant du suicide.

That acts of suicide were common among the general population of Rome, is not so certain as that self immolation was prescribed to every noble soul, in every instance where the country could be benefited by it. Examples of heroic devotedness occur in every page of Roman history. [Richard Chenevix, "An Essay Upon National Character," 1832]
Que les actes de suicide étaient courants parmi la population générale de Rome, n'est pas aussi certain que le fait que l'auto-immolation était prescrite à chaque âme noble, dans chaque cas où le pays pouvait en bénéficier. Des exemples de dévouement héroïque se trouvent à chaque page de l'histoire romaine. [Richard Chenevix, "An Essay Upon National Character," 1832]

Surtout après c. 1800 en référence aux coutumes en Inde britannique, notamment le suttee, qui pourrait avoir donné son association populaire avec la mort sacrificielle par le feu.

Entrées associées

En moyen anglais, on trouve le terme blessen, qui provient de l’ancien anglais bletsian, bledsian, et du dialecte northumbrien bloedsian. Ce mot signifiait « consacrer par un rite religieux, rendre saint, exprimer sa gratitude ». Il tire ses racines du proto-germanique *blodison, qui se traduisait par « sanctifier avec du sang, marquer de sang », lui-même issu de *blotham, signifiant « sang » (voir blood (n.)). À l’origine, il faisait référence à une pratique de saupoudrer de sang les autels païens.

Dans les bibles en vieil anglais, ce mot a été choisi pour traduire le latin benedicere et le grec eulogein. Ces deux termes, bien qu’ayant une signification fondamentale de « parler en bien de, louer », étaient utilisés dans les Écritures pour rendre compte de l’hébreu brk, qui signifie « plier (le genou), adorer, louer, invoquer des bénédictions ». L.R. Palmer, dans son ouvrage « The Latin Language », note que « le développement sémantique d’un mot désignant à l’origine un acte rituel spécifique vers des significations plus générales comme ‘sacrifier’, ‘adorer’, ‘bénir’ n’a rien d’étonnant ». Il compare cela au latin immolare (voir immolate).

Vers la fin de l’ancien anglais, le sens a évolué pour signifier « prononcer ou rendre heureux, prospère ou chanceux », probablement en raison d’une ressemblance avec le mot sans lien bliss. La signification « invoquer ou prononcer la bénédiction de Dieu sur » est attestée dès le début du XIVe siècle. Il n’existe pas de cognats dans d’autres langues. Lié : Blessed; blessing.

Au début du 15e siècle, le terme immolacion désignait "un sacrifice, un meurtre sacrificiel" (à l'origine, surtout en référence à Christ). Il provient du vieux français immolacion, signifiant "offrande, sacrifice" (13e siècle), ou directement du latin immolationem (au nominatif immolatio), qui signifie "un sacrifice, une offrande". C'est un nom d'action dérivé du participe passé de immolare, qui signifie "sacrifier" (voir immolate).

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Tendances de " immolate "

Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of immolate

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