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Signification de thrush

merle; oiseau chanteur; maladie de la gorge

Étymologie et Histoire de thrush

thrush(n.1)

Il s'agit d'un type de passereau, en particulier le grive musicienne ou le mavis. En vieil anglais, on l'appelait þræsce, une variante de þrysce, dérivée du proto-germanique *thruskjon. Ce terme a également donné naissance au vieux norrois þröstr, au norvégien trost, et au vieux haut allemand drosca. Ses racines plongent dans le proto-indo-européen *trozdo-, qui a également engendré le latin turdus, le lituanien strazdas signifiant « grive », le moyen irlandais truid, le gallois drudwy pour « étourneau », ainsi que le vieux slavon d'église drozgu et le russe drozdu. Au fil du temps, le terme a été élargi pour désigner de nombreuses espèces sans lien qui lui ressemblent.

An aged thrush, frail, gaunt, and small,
     In blast-beruffled plume,
Had chosen thus to fling his soul
     Upon the growing gloom.
[Hardy, "The Darkling Thrush," Dec. 31, 1900]
Un vieux thrush, frêle, émacié et petit,
     Dans un plumage ébouriffé par le vent,
Avait choisi de livrer son âme
     À l'obscurité grandissante.
[Hardy, « The Darkling Thrush », 31 décembre 1900]

thrush(n.2)

Maladie de la gorge particulièrement courante chez les nourrissons, dans les années 1660, un mot d'origine incertaine, probablement d'une source scandinave (à comparer avec le norvégien, le danois trøske, le suédois torsk), mais ses racines et son sens original restent flous. Une connexion avec des mots signifiant « soif » a été suggérée.

Entrées associées

"Très grand oiseau incapable de voler, habitant les plaines sablonneuses d'Afrique et d'Arabie," début du 13e siècle. On le retrouve aussi sous les formes hostriche, estrich, ostrig, esterige, etc. Ces termes proviennent du français ancien ostruce (français moderne autruche) et du latin médiéval ostrica, ostrigius, tous issus du latin vulgaire avis struthio.

Ce mot vient du latin avis signifiant "oiseau" (issu de la racine indo-européenne *awi- qui signifie "oiseau") + du latin tardif struthio qui désigne l'"autruche," lui-même tiré du grec strouthion pour "autruche," dérivant de strouthos megale signifiant "grand moineau." Le premier mot proviendrait peut-être de la racine indo-européenne *trozdo- qui signifie "grive" (voir thrush (n.1)).

Les Grecs appelaient aussi cet oiseau strouthokamelos, ce qui se traduit par "moineau-chameau," en raison de son long cou. Parmi ses caractéristiques proverbiales, on note sa voracité sans discernement (notamment son habitude de gober de petits morceaux de fer et de pierre pour faciliter sa digestion), son prétendu désintérêt pour ses œufs (qui sont incubés en partie par la chaleur du soleil), et sa tendance à cacher sa tête lorsqu'il est poursuivi. Les autruches plongent effectivement leur tête dans le sable, mais les éleveurs affirment qu'elles le font en quête de quelque chose à manger.

Comme l'autruche, qui, en cachant sa petite tête, pense que son grand corps est dissimulé. ["Quelque chose écrit à l'occasion de cet accident fatal et mémorable aux Black Friars le dimanche 26 octobre 1623."]

De là sont nées les expressions cruel as an ostrich (aussi cruel qu'une autruche, fin du 14e siècle) et foolish as an ostrich (aussi fou qu'une autruche, fin du 15e siècle). Le mot latin vulgaire a également donné naissance à l'espagnol avestruz, à l'italien struzzo, à l'ancien anglais struta, au allemand Strausz, au néerlandais struis et au danois struds.

Pour l'utilisation générique du mot "moineau" pour désigner un "oiseau," on peut comparer avec l'espagnol pájaro et le roumain pasăre signifiant "oiseau," tous deux issus du latin passer qui signifie "moineau."

Vers 1300 (fin du 12e siècle comme nom de famille), sturdi, qui signifie "difficile à gérer, imprévisible, violent ; féroce, cruel ; audacieux, fort au combat ; sévère, rigide ; de mauvaise humeur ; désobéissant, rebelle." Ce mot provient de l'ancien français estordi, estourdi (11e siècle, en français moderne étourdi), qui signifiait à l'origine "violent," mais aussi "étourdi" ou "dazed." C'est le participe passé de estordir, estordiir, qui signifie "étourdir, assommer, abrutir" (en français moderne étourdir). Ce verbe vient du latin vulgaire *exturdire (à l'origine du espagnol atordir "étourdir, assommer," plus tôt estordir), que certains pensent dériver du préfixe intensif latin ex- (voir ex-) + turdus "grive" (voir thrush (n.1)).

La théorie la plus courante sur cette origine suggère que l'image évoquée serait celle de grives se régalant des restes de raisins dans les vignobles, puis agissant comme si elles étaient ivres. Klein fait remarquer que l'italien tordo "grive" signifie aussi "simple d'esprit," et qu'en français, on dit soûl comme une grive pour dire "ivre comme une grive." Cependant, l'Oxford English Dictionary considère toutes ces explications comme "susceptibles de graves objections." Le Century Dictionary compare cela au latin torpidus "engourdi" (Lewis & Short mentionne même un *ex-torpesco).

Lorsqu'on parle d'une personne, le sens de "bien bâti, fort et résistant" apparaît à la fin du 14e siècle. Pour les objets (arbres, murs, etc.), il signifie "solide, robuste," vers 1400. En moyen anglais, on l'utilisait aussi pour décrire des vagues tumultueuses ou des rivières en furie. Lié à ce mot, on trouve Sturdily (avec détermination) et sturdiness (robustesse). L'expression Sturdy-boots, qui désigne une personne obstinée, date de 1762. Un sturdy beggar dans le langage ancien désignait quelqu'un qui mendie mais est capable de travailler (vers 1400).

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Tendances de " thrush "

Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of thrush

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