Publicité

Signification de frumbierdling

jeune homme; adolescent; jeune

Étymologie et Histoire de frumbierdling

frumbierdling(n.)

Ce mot anglais ancien signifie "un jeune homme" et vient de fruma, qui signifie "premier, début" (voir foremost), associé à beard (n.) et -ling.

Entrées associées

"croissance dense de poils sur le menton et le bas du visage, normalement caractéristique d'un homme adulte" (celui de la lèvre supérieure étant distingué en anglais moderne par le terme mustache), vieil anglais beard "barbe," issu du proto-germanique *bard (source également du frison ancien berd, du moyen néerlandais baert, de l'ancien haut allemand bart, et de l'allemand bart). Selon Pokorny, ce mot proviendrait d'une racine indo-européenne *bhardhā- signifiant "barbe" (également à l'origine du vieux slavon d'Église brada, du russe boroda, du lituanien barzda, de l'ancien prussien bordus, et peut-être du latin barba "barbe"). Cependant, Boutkan rejette cette hypothèse pour des raisons phonétiques et propose plutôt un mot d'origine non indo-européenne. Le vieux français berd provient du germanique.

The Greek and Roman Churches have long disputed about the beard. While the Romanists have at different times practised shaving, the Greeks, on the contrary, have strenuously defended the cause of long beards. Leo III. (795 AD) was the first shaved Pope. Pope Gregory IV., after the lapse of only 30 years, fulminated a Bull against bearded priests. In the 12th century the prescription of the beard was extended to the laity. Pope Honorius III. to disguise his disfigured lip, allowed his beard to grow. Henry I. of England was so much moved by a sermon directed against his beard that he resigned it to the barber. Frederick Barbarossa is said to have been equally tractable. [Tom Robinson, M.D., "Beards," St. James's Magazine, 1881]
Les Églises grecque et romaine ont longtemps débattu sur la question de la barbe. Alors que les Romains ont, à différentes époques, pratiqué le rasage, les Grecs, au contraire, ont vigoureusement défendu l'idée des barbes longues. Léon III (795 après J.-C.) fut le premier pape rasé. Le pape Grégoire IV, seulement 30 ans plus tard, a lancé une bulle contre les prêtres barbus. Au XIIe siècle, l'obligation de porter la barbe s'est étendue aux laïcs. Le pape Honorius III, pour dissimuler sa lèvre déformée, a laissé pousser sa barbe. Henri Ier d'Angleterre fut si touché par un sermon dirigé contre sa barbe qu'il a fini par la confier à son barbier. Frédéric Barberousse aurait été tout aussi docile. [Tom Robinson, M.D., "Beards," St. James's Magazine, 1881]

Le sens de "poils pubiens" apparaît dans les années 1600 (mais neþir berd "poils pubiens" remonte à la fin du XIVe siècle). Dans le "Dictionnaire de la langue vulgaire" de 1811, l'expression beard-splitter est définie comme "Un homme très porté à la débauche" (à comparer avec beaver dans le sens génital argotique).

En moyen anglais, on trouve formest, qui vient de l'ancien anglais fyrmest ou formest, signifiant "le plus ancien, le premier, le plus éminent." Ce terme provient du proto-germanique *furmista- ou *frumista-, qui est lié à l'ancien anglais fruma, signifiant "début." À l'origine, il provient de la langue indo-européenne avec la racine *pre-mo-, qui est une forme superlative de la racine *per- (1), signifiant "vers l'avant." Cela a donc évolué pour signifier "à travers, devant, avant, premier," et a été complété par le suffixe superlatif -est. Pour le -m-, on peut se référer à -most, et on trouve des formes similaires en frison ancien avec formest et en gothique avec frumists. Il a été modifié en pensant qu'il s'agissait d'un composé de fore et most. Le même composé sans le superlatif -m- est first. En ancien anglais, il était aussi utilisé comme adverbe, signifiant "tout d'abord, au début, en premier lieu."

Le suffixe -ling, qui forme des mots diminutifs, apparaît au début du 14e siècle. Il provient de l'ancien anglais -ling, un suffixe nominal (qui n'était pas à l'origine diminutif), issu du proto-germanique *-linga-. Dans les langues germaniques historiques, il se présentait comme un suffixe simple, mais il représentait probablement la fusion de deux suffixes : 1. celui que l'on retrouve en anglais avec -el (1), comme dans thimble ou handle ; et 2. -ing, un suffixe indiquant « une personne ou une chose d'un certain type ou d'une certaine origine » ; dans les noms masculins, il pouvait aussi signifier « fils de » (comme dans farthing, atheling ou l'ancien anglais horing signifiant « adultère, fornicateur »). Ce dernier provient de la racine indo-européenne *-(i)ko- (voir -ic).

Ces deux suffixes pouvaient parfois avoir une fonction diminutive, mais cela n'était que légèrement perceptible dans l'ancien anglais -ling et ses équivalents dans les autres langues germaniques, à l'exception du vieux norrois, où il était couramment utilisé comme suffixe diminutif, notamment dans les mots désignant les jeunes animaux (comme gæslingr signifiant « oison »). Il est donc possible que l'usage diminutif qui s'est développé en moyen anglais provienne directement du vieux norrois.

    Publicité

    Partager "frumbierdling"

    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of frumbierdling

    Publicité
    Tendances
    Entrées du dictionnaire près de "frumbierdling"
    Publicité