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Signification de rejection

rejet; refus d'accepter; renvoi

Étymologie et Histoire de rejection

rejection(n.)

Le terme désigne l'act of throwing off or away; refusal to accept or grant, et apparaît dans les années 1550. Il provient du français réjection (16e siècle) ou du latin reiectionem (nominatif reiectio), signifiant littéralement act of throwing back. C'est un nom formé à partir du participe passé de reicere, qui est à l'origine du verbe anglais reject.

Au 19e siècle, le mot pouvait également désigner excrement. Une utilisation antérieure faisait référence à setting aside of a wife, divorce, courant au milieu du 15e siècle. Dans le domaine médical, le sens lié aux transplantations date de 1954. En psychologie, notamment en ce qui concerne la parentalité, il est utilisé depuis 1931.

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Au début des années 1500, le verbe rejecten apparaissait, signifiant « éjecter, mettre de côté, bloquer une héritage ». À la fin du même siècle, il a évolué pour désigner le fait de « refuser d'accepter ou de se soumettre », emprunté au vieux français rejecter et directement issu du latin reiectus, participe passé de reiectare, qui signifie « jeter, rejeter, vomir ». Ce dernier est une forme fréquente de reicere, qui se traduit par « renvoyer », composée de re- (indiquant un mouvement en arrière, comme on peut le voir dans re-) et de -icere, une forme dérivée de iacere, signifiant « jeter » (provenant de la racine indo-européenne *ye-, qui signifie « jeter, propulser »).

Le sens de « jeter quelque chose que l'on considère comme indésirable ou inutile, refuser de prendre pour un but quelconque » s'est établi dans les années 1530. Dans les années 1560, il a pris une connotation plus sociale, désignant « le fait de repousser ou de rejeter une avance » (en particulier celle d'un homme par une femme, dans le cadre d'une relation amoureuse ou matrimoniale, ce qui s'est précisé dans les années 1580). L'idée de « refuser quelque chose qui est proposé » est apparue dans les années 1660. En médecine, le terme a acquis un sens spécifique dans les années 1950, désignant la « réaction immunitaire à un organe transplanté ». On trouve aussi des formes dérivées : Rejected et rejecting.

*yē-, une racine proto-indo-européenne qui signifie "jeter, propulser."

Elle pourrait constituer tout ou partie des mots suivants : abject, abjection, adjacence, adjacent, adjective, aphetic, catheter, circumjacent, conjecture, deject, ease, ejaculate, eject, enema, gist, ictus, interjacent, inject, interject, interjection, jess, jet (v.1) "jaillir ou fuser, éclater," jet (n.1) "jet d'eau," jete, jetsam, jettison, jetton, jetty (n.) "quai," joist, jut, object, objection, objective, paresis, project, projectile, reject, rejection, subjacent, subject, subjective, trajectory.

Elle pourrait aussi être à l'origine de : l’hittite ijami "je fais," le latin iacere "jeter, lancer."

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    Tendances de " rejection "

    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

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    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of rejection

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