Publicité

Signification de reprise

répétition; reprise d'une action; retour à un passage musical

Étymologie et Histoire de reprise

reprise(n.)

À la fin du 14e siècle, le terme désignait une « déduction annuelle des charges sur un manoir ou un domaine ». Il provient du vieux français reprise, signifiant « acte de reprendre » (13e siècle), féminin de repris, le participe passé de reprendre, qui veut dire « reprendre ». Ce mot trouve ses racines dans le latin reprendere, signifiant « tirer en arrière, retenir » (voir reprehend). L’idée de « reprise d’une action » apparaît dans les années 1680. Dans le domaine musical, le sens de « passage répété, acte de répéter un passage » est attesté dès 1879.

reprise(v.)

Au début du 15e siècle, on trouvait reprisen, qui signifiait "commencer (une activité) à nouveau." Ce terme provient du vieux français repris, le participe passé de reprendre, lui-même issu du latin reprehendere, signifiant "blâmer, censurer, réprimander ; saisir, retenir." Littéralement, cela se traduisait par "tirer en arrière, retenir" (voir reprehend). Ce sens est aujourd'hui obsolète. La signification moderne, qui désigne le fait de "répéter une performance (théâtrale, musicale, etc.)," est apparue vers 1965, probablement comme une nouvelle formation à partir du verbe. En lien avec cela, on trouve les formes Reprised et reprising.

Entrées associées

"blâmer, censurer, réprimander, reprocher, accuser d'une faute," au milieu du 14e siècle, reprehenden, issu du latin reprehendere "blâmer, censurer, réprimander ; saisir, retenir," littéralement "tirer en arrière, retenir," dérivé de re- "en arrière" (voir re-) + prehendere "saisir, attraper" (provenant de prae- "devant," voir pre-, + -hendere, issu de la racine indo-européenne *ghend- "saisir, prendre").

Dans les années 1570, reprive signifie "ramener en prison". C'est une évolution (peut-être influencée par reprove) du moyen anglais repryen, qui voulait dire "renvoyer, retenir" (fin du 15e siècle). On pense qu'il vient du français repris, le participe passé de reprendre, qui signifie "reprendre" (voir reprise). L'idée de "suspendre une exécution imminente" apparaît dans les années 1590. Ce sens a probablement évolué parce que retourner en prison était une alternative à l'exécution. L'orthographe avec -ie- apparaît dans les années 1640, peut-être par analogie avec achieve, etc. Lié : Reprieved; reprieving.

Il existe aussi *ghed-, une racine proto-indo-européenne qui signifie « saisir, prendre ». 

Elle pourrait former tout ou partie de mots comme : apprehend (appréhender) ; apprentice (apprenti) ; apprise (apprise) ; beget (engendrer) ; comprehend (comprendre) ; comprehension (compréhension) ; comprehensive (complet) ; comprise (comprendre) ; depredate (piller) ; depredation (déprédation) ; emprise (emprise) ; enterprise (entreprise) ; entrepreneur (entrepreneur) ; forget (oublier) ; get (obtenir) ; guess (deviner) ; impresario (imprésario) ; misprision (délit de faute) ; osprey (balbuzard) ; predatory (prédateur) ; pregnable (prenable) ; prehensile (préhensile) ; prehension (préhension) ; prey (proie) ; prison (prison) ; prize (prix, en tant que « quelque chose pris par la force ») ; pry (forcer) (v.2) « soulever par la force » ; reprehend (réprimander) ; reprieve (sursis) ; reprisal (représailles) ; reprise (reprise) ; spree (fête) ; surprise (surprise).

Elle pourrait aussi être à l’origine de mots comme : le grec khandanein (tenir, contenir) ; le lituanien godėtis (être désireux) ; le second élément du latin prehendere (saisir, attraper) ; le gallois gannu (tenir, contenir) ; le russe za-gadka (énigme) ; l’ancien norrois geta (obtenir, atteindre ; pouvoir ; engendrer ; apprendre ; être satisfait de) ; l’albanais gjen (trouver).

    Publicité

    Tendances de " reprise "

    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

    Partager "reprise"

    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of reprise

    Publicité
    Tendances
    Publicité