Publicité

Signification de pall-mall

jeu de boules; jeu de quilles; promenade

Étymologie et Histoire de pall-mall

pall-mall

voir mall.

Entrées associées

En 1737, le terme désigne un "chemin ombragé servant de promenade", tiré de The Mall, qui désigne une large promenade bordée d'arbres dans le parc de St. James, à Londres (appelée ainsi depuis les années 1670, plus tôt Maill, années 1640). Ce nom provient du fait qu'il s'agissait autrefois d'une allée ouverte où l'on jouait au pall-mall.

Ce jeu, autrefois populaire, se jouait avec une balle en bois dans une sorte d'allée lisse bordée de chaque côté, où l'on frappait la balle avec un maillet pour la faire passer sous une arche en fer placée à l'extrémité de l'allée. Le nom du jeu vient du français pallemaille, lui-même issu de l'italien pallamaglio, composé de palla "balle" (voir balloon (n.)) + maglio "maillet" (du latin malleus "un marteau, maillet", issu de la racine indo-européenne *mele- "écraser, broyer"). Le sens moderne de "galerie marchande fermée" apparaît en 1962 (utilisé dès 1951 pour désigner des rues urbaines réservées aux piétons). L'expression Mall rat, désignant "une personne qui fréquente un centre commercial", date de 1985 (voir rat (n.)).

The short history of malls goes like this: In 1954, Victor Gruen's Northland Center, often credited as the first modern shopping mall (though earlier examples existed), opens in Southfield, Michigan. The suburban location is fitting because the rise of the automobile, helped along by the Federal-Aid Highway Act, led to the widespread creation of large shopping centers away from urban centers. This, among other factors, nearly killed downtowns, and malls reigned supreme for some 40 years. By the 1990s, however, a new urbanism movement revived the urban shopping experience and eroded the dominance of malls. Next, the rise of big box stores and online shopping sounded the death knell for mall culture. [Steven Kurutz, "An Ode to Shopping Malls," New York Times, July 26, 2017]
L'histoire des centres commerciaux est la suivante : en 1954, le Northland Center de Victor Gruen, souvent considéré comme le premier centre commercial moderne (bien que des exemples antérieurs aient existé), ouvre à Southfield, dans le Michigan. Son emplacement en banlieue est révélateur, car la montée de l'automobile, favorisée par le Federal-Aid Highway Act, a conduit à la création massive de grands centres commerciaux éloignés des centres urbains. Cela, entre autres facteurs, a presque tué les centres-villes, et les centres commerciaux ont dominé pendant près de 40 ans. Cependant, dans les années 1990, un mouvement de nouvel urbanisme a ravivé l'expérience d'achat en milieu urbain et a érodé la suprématie des centres commerciaux. Ensuite, l'essor des grandes surfaces et du shopping en ligne a sonné le glas de la culture des centres commerciaux. [Steven Kurutz, "An Ode to Shopping Malls," New York Times, 26 juillet 2017]

La racine proto-indo-européenne signifie « souffler, gonfler », avec des dérivés évoquant divers objets ronds et l'idée de masculinité tumescente [Watkins].

Elle pourrait constituer tout ou partie de : bale (n.) « gros paquet ou colis de marchandises préparé pour le transport » ; baleen ; ball (n.1) « objet rond, corps sphérique compact » ; balloon ; ballot ; bawd ; bold ; bole ; boll ; bollocks ; bollix ; boulder ; boulevard ; bowl (n.) « pot ou tasse ronde » ; bulk ; bull (n.1) « animal mâle bovin » ; bullock ; bulwark ; follicle ; folly ; fool ; foosball ; full (v.) « fouler ou battre un tissu pour le nettoyer ou l’épaissir » ; ithyphallic ; pall-mall ; phallus.

Elle pourrait aussi être à l'origine de : le grec phyllon « feuille », phallos « pénis tuméfié » ; le latin flos « fleur », florere « fleurir, prospérer », folium « feuille » ; le vieux prussien balsinis « coussin » ; le vieux norrois belgr « sac, soufflet » ; l'ancien anglais bolla « pot, tasse, bol » ; l'ancien irlandais bolgaim « je gonfle », blath « fleur, éclosion », bolach « bouton », bolg « sac » ; le breton bolc'h « gousse de lin » ; le serbe buljiti « fixer du regard, avoir les yeux exorbités » ; le serbo-croate blazina « oreiller ».

Une forme étendue de la racine, *bhelgh- « gonfler », forme tout ou partie de : bellows ; belly ; bilge ; billow ; bolster ; budget ; bulge ; Excalibur ; Firbolgs.

Une autre forme étendue de la racine, *bhleu- « gonfler, déborder, jaillir », forme tout ou partie de : affluent ; bloat ; confluence ; effluent ; effluvium ; efflux ; fluctuate ; fluent ; fluid ; flume ; fluor ; fluorescence ; fluoride ; fluoro- ; flush (v.1) « jaillir, sortir brusquement, couler avec force » ; fluvial ; flux ; influence ; influenza ; influx ; mellifluous ; phloem ; reflux ; superfluous.

*melə-, racine proto-indoeuropéenne signifiant "écraser, broyer," avec des dérivés évoquant des substances broyées ou friables et des instruments de broyage ou de concassage.

On peut le retrouver dans tout ou partie de : amyl; amyloid; blintz; emmer; emolument; immolate; maelstrom; mall; malleable; malleolus; mallet; malleus; maul; meal (n.2) "céréale comestible broyée;" mill (n.1) "bâtiment destiné à moudre des grains;" millet; mola; molar (n.); mold (n.3) "terre meuble;" molder; ormolu; pall-mall.

Il pourrait aussi être à l'origine de : hittite mallanzi "ils broient;" arménien malem "je écrase, je broie;" grec mylos "meule," myle "moulin;" latin molere "moudre," mola "meule, moulin," milium "millet;" vieil anglais melu "farine, poudre;" albanais miel "farine, poudre;" vieux slavon d'église meljo, lituanien malu, malti "moudre;" vieux slavon d'église mlatu, russe molotu "marteau."

    Publicité

    Tendances de " pall-mall "

    Adapté de books.google.com/ngrams/. Les ngrammes sont probablement peu fiables.

    Partager "pall-mall"

    Traduction générée par IA. Pour le texte original, cliquez ici: Etymology, origin and meaning of pall-mall

    Publicité
    Tendances
    Entrées du dictionnaire près de "pall-mall"
    Publicité